Les modalités
d’admissions
Vous pouvez intégrer l’INSA Toulouse après votre baccalauréat en 1ère année ou nous rejoindre en cours de cursus (année 2, 3 et 4) selon vos diplômes et passerelles possibles.
Il est également possible d’intégrer l’INSA Toulouse en apprentissage à partir de la 3ème année.
Intégrer l’insa
en 1ERE année
INTÉGRER L’INSA
EN 2ème, 3ème ANNÉE, ou en apprentissage C’EST POSSIBLE !

Vous avez validé une 1ère année de licence ou une 1ère année de CPGE ?
Vous intégrerez le cursus INSA en 2ème année. Retrouvez les modalités d’entrée qui le permettent.
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Vous avez validé un niveau bac + 2 minimum ?
Vous intégrerez le cursus INSA en 3ème année. Retrouvez les diplômes qui le permettent (DUT, BTS…)
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Vous pouvez poursuivre vos études en apprentissage ?
Vous intégrerez le cursus INSA en 3ème année dans l’une des 4 spécialités qui propose ce type de formation.
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INTÉGRER L’INSA
EN 4ème ANNÉE
Le recrutement en 4ème année est propre à chaque INSA. Il est ouvert à l’INSA Toulouse aux titulaires d’un diplôme L3 validé exclusivement en France, à l’exclusion des licences professionnelles, et aux titulaires d’un diplôme obtenu maîtrise ès-sciences de master 1 ou équivalent reconnu validé en France ou à l’étranger.

Vous êtes titulaire d’un diplôme de niveau Licence 3 validé exclusivement en France, d’un diplôme de maîtrise ès-sciences, de Master 1 ou équivalent reconnu validé en France ou à l’étranger.
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Vous êtes étudiant étranger, vous pouvez intégrer un master pour bachelor via le réseau n+i. Le réseau n+i regroupe près de 50 grandes écoles d’ingénieurs.
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En savoir plus
sur l’INSA Toulouse
Livret d’accueil des étudiants
Student Welcome Guide
Les Tarifs et droits d’inscription
de l’INSA Toulouse
Droits d’inscription élève ingénieur - étudiants français ou de la communauté européenne
Tarif 2025-2026
Droits de scolarité = 628€
Le paiement des droits d’inscription peut être acquitté en 3 fois. Le premier paiement est immédiat et doit être effectué lors de l’inscription en ligne.
Une fois inscrit, vous pourrez, si vous le souhaitez, faire part d’une situation sociale particulière.
Contact
Service de Santé Étudiant
Forum Louis Lareng,
situé à proximité de la station de métro Université Paul Sabatier
Tél secrétariat : 05 61 55 73 67
Droits d’inscription au diplôme de Master - étudiants français ou de la communauté européenne
Tarif 2025-2026
Droits de scolarité = 254 €
Le paiement des droits d’inscription peut être acquitté en 3 fois. Le premier paiement est immédiat et doit être effectué lors de l’inscription en ligne.
Une fois inscrit, vous pourrez, si vous le souhaitez, faire part d’une situation sociale particulière.
Contact
Service de Santé Étudiant
Forum Louis Lareng,
situé à proximité de la station de métro Université Paul Sabatier
Tél secrétariat : 05 61 55 73 67
Droits d'inscription différenciés - étudiants extra-communautaires
La loi française prévoit que les étudiants extra-communautaires soient soumis aux droits d’inscription différenciés.
Vous pouvez consulter cette page pour obtenir plus de détail : Campus France – Droits d’inscription étudiants étrangers
Les droits d’inscription extra-communautaires à acquitter sont les suivants :
- 2 8 95 € par an pour les années 1 et 2 du cursus ingénieur
- 3 941 € par an pour les années 3 / 4 / 5 du cursus ingénieur et les masters (année 1 et 2)
Le paiement des droits d’inscription peut être acquitté en 3 fois. Le premier paiement est immédiat et doit être effectué lors de l’inscription en ligne.
Une fois inscrit, vous pourrez, si vous le souhaitez, faire part d’une situation sociale particulière.
Seules les situations sociales des étudiants inscrits seront évaluées par l’assistante de service social.
Contact : assistantesociale@insa-toulouse.fr
Ne sont pas assujettis aux droits d’inscription différenciés :
- Ressortissants québécois
- Inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur français en 2018-2019
- Résidents de longue durée
- Domiciliés fiscalement ou rattachés à un foyer fiscal en France depuis plus de deux ans
- Relevant du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire (ou dont un parent ou le représentant légal relève de l’un de ces deux statuts)
Le montant des droits d’inscription à acquitter est celui des droits d’inscription nationaux :
- 628 € pour les années de 1 à 5 du cursus ingénieur
- 254 € pour les années 1 et 2 des masters
Sont assujettis mais exonérés partiellement des droits d’inscription les étudiants extracommunautaires dans les situations suivantes :
- Originaires des pays exonérés en tant que nouvel entrant à l’INSA en 2025-2026
Liste des Pays Exonérés droits différenciés 2025-2026
Le montant des droits d’inscription à acquitter est celui des droits d’inscription nationaux UNIQUEMENT pour la première année d’inscription, pour les années suivantes vous serez soumis aux droits d’inscription en fonction de votre profil.
Sont assujettis mais exonérés totalement des droits d’inscription les étudiants extra-communautaires dans les situations suivantes :
- Boursiers du Gouvernement Français ou assimilés : aucun droit d’inscription n’est à acquitter.
Attention ! En parallèle des droits d’inscription, peuvent être appliqués des frais spécifiques. Voir ci-dessous les tarifs des formations.
Droits d’inscription - Filières internationales
Des tarifs spécifiques sont appliqués aux Filières internationales, merci de consulter les pages suivantes, et de vous rapprocher des responsables de filières à l’adresse « Filières internationales «
À noter : Les tarifs pour les filières internationales ne s’appliquent que pour la première année de formation à l’INSA Toulouse. À partir de la deuxième année, les étudiants sont soumis aux droits d’inscription correspondant à leur statut. Les étudiants extra-communautaires doivent donc s’acquitter des droits différenciés mentionnés ci-dessus.
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INSA Toulouse
135 avenue de Rangueil
31077 Toulouse cedex 4
Tél : 05 61 55 95 13
Fax : 05 61 55 95 00

Dans un souci d'alléger le texte et sans aucune discrimination de genre, l'emploi du genre masculin est utilisé à titre épicène.
Certes, « pour ceux qui ont été mis en lumière et exposés aux fortes secousses émotionnelles suscitées par leur participation aux JO de Paris, la reprise a parfois pu être difficile », reconnaît Laurence Duboscq, la responsable de la section sport-études, lorsqu’on l’interroge sur les résultats obtenus durant la saison précédente. Mais globalement, se réjouit-elle, « la dynamique des résultats est entretenue tant chez les athlètes confirmés que chez ceux qui se révèlent ».
Parmi les « confirmés » qui affichent encore de belles performances, et dont « un certain nombre se projette déjà sur les JO 2028 », figurent les beach volleyeurs qui concouraient aux JO de Paris en 2024 : Arnaud Gauthier-Rat, qui a remporté la médaille d'argent au challenger Alanya 2025 avec l'équipe de France, et Clémence Vieira, qui a décroché le titre de vice-championne d’Europe senior avec l’équipe de France. Toujours brillant aussi, Théo Faure, qui avait remporté la médaille d’or aux JO avec l’équipe de France de volley-ball, a réalisé une très belle saison dans le club où il évolue, le Top Volley Latina en Italie. Ce qui lui a valu d’être encore sélectionné en équipe de France et de disputer en septembre dernier le Mondial de volley masculin aux Philippines. Enfin, du côté des « anciens » qui ont encore performé, figure aussi le para nageur Ugo Didier, décoré également aux Paralympiques de Paris de 3 médailles (une d’or et deux d’argent) : celui-ci cumule, à l’issue de cette nouvelle saison, les titres de champion de France sur 100m dos et 200m 4 nages et a ramené, à l’issue de sa participation aux championnats du monde de Singapour fin septembre, 3 des 15 médailles françaises, en bronze, sur 200m 4 nages, 100m nage libre et 100m dos.
Des « révélations »
Du côté de ceux qui « se sont révélés », citons, au plus haut niveau de compétition, deux athlètes qui évoluent au canoë-kayak : Mattéo Zanni, sacré champion du monde en descente canoë sprint individuel dans les moins de 23 ans (U23) et 2e par équipe dans cette même discipline, et Corentin Georgeon, arrivé à la 8e place de ces mêmes championnats avec l’équipe de France. Dans les révélations s’illustrent aussi Enola Hochdoerffer, qui a fini 3e au championnat du monde par équipe au beach tennis après avoir réalisé une performance équivalente, toujours en équipe, au championnat d’Europe, ou encore Clémence Cadeac, une golfeuse qui vient d’être sacrée, en septembre, championne d’Europe amateur avec l’équipe de France.
Ce ne sont pas les seules étudiantes de la section sport-études à avoir brillé en championnats d’Europe. Alison Bernardi a raflé deux titres de championne d’Europe sur les épreuves de roller vitesse du 5 km à points et du 10 km à élimination, à Gross-Gerau en Allemagne et une médaille de bronze aux Mondiaux récemment. Sarah Brunel et Salome Degeorges ont décroché ensemble, dans l’épreuve d’aviron en deux de couple U23 femme, le titre de championnes de France. Et Alix Klewinski a fini 3e au championnat d’Europe universitaire de basket-ball. Cette liste n’est pas exhaustive et elle est complétée par celle des athlètes qui ont décroché des titres de champions de France, universitaires ou de grandes écoles comme Emma Charlet ou Cyann Galtier Vila en demi-fond, Simon Gresse en Aviron.
Mise en lumière régulière de sportifs et rencontres entre promotions pour 2025
Si tous ces étudiants doivent ces réussites sportives évidemment à leurs efforts et à leur ténacité, ils le doivent aussi aux dispositifs spécifiques mis en place par l’établissement pour les soutenir dans leur double projet, sportif et d’études. Et force est de constater, au regard des résultats, que ces dispositifs s’avèrent utiles. Une utilité perçue de plus en plus tôt, puisque la plupart des sportifs sollicitent dès la 1re année la mise en place d’un cursus aménagé pour réaliser, soit la 1re année d’études en 2 ans, soit les 2 premières années sur 3 ans. De même, environ 230 heures de tutorat sont dispensées chaque année par des enseignants et 55 étudiants ont pu en bénéficier cette année. « Deux dispositifs importants », estime la responsable de la section. « Car, en aménageant leurs premières années, les étudiants libèrent du temps pour s’entraîner, pour travailler mais aussi pour optimiser la récupération. Quant au tutorat, c’est également une ressource importante, car cet accompagnement personnalisé s’adapte au rythme du sportif et renforce ses acquis. »
La responsable de la filière entend donner vie à d’autres projets. D’abord organiser l’élection du sportif du semestre ou de la saison, afin de mettre en lumière les plus performants. Autre projet auquel elle tient : organiser une rencontre entre sportifs de toutes les promotions. But de l’opération ? « Créer davantage de liens et partager sur les problématiques communes », explique Laurence Duboscq. « Ce qui peut faire gagner du temps aux nouveaux entrants qui profiteront et s’inspireront de l’expérience de leurs aînés. »
Des « révélations »
Du côté de ceux qui « se sont révélés », citons, au plus haut niveau de compétition, deux athlètes qui évoluent au canoë-kayak : Mattéo Zanni, sacré champion du monde en descente canoë sprint individuel dans les moins de 23 ans (U23) et 2e par équipe dans cette même discipline, et Corentin Georgeon, arrivé à la 8e place de ces mêmes championnats avec l’équipe de France. Dans les révélations s’illustrent aussi Enola Hochdoerffer, qui a fini 3e au championnat du monde par équipe au beach tennis après avoir réalisé une performance équivalente, toujours en équipe, au championnat d’Europe, ou encore Clémence Cadeac, une golfeuse qui vient d’être sacrée, en septembre, championne d’Europe amateur avec l’équipe de France.
Ce ne sont pas les seules étudiantes de la section sport-études à avoir brillé en championnats d’Europe. Alison Bernardi a raflé deux titres de championne d’Europe sur les épreuves de roller vitesse du 5 km à points et du 10 km à élimination, à Gross-Gerau en Allemagne et une médaille de bronze aux Mondiaux récemment. Sarah Brunel et Salome Degeorges ont décroché ensemble, dans l’épreuve d’aviron en deux de couple U23 femme, le titre de championnes de France. Et Alix Klewinski a fini 3e au championnat d’Europe universitaire de basket-ball. Cette liste n’est pas exhaustive et elle est complétée par celle des athlètes qui ont décroché des titres de champions de France, universitaires ou de grandes écoles comme Emma Charlet ou Cyann Galtier Vila en demi-fond, Simon Gresse en Aviron.
Mise en lumière régulière de sportifs et rencontres entre promotions pour 2025
Si tous ces étudiants doivent ces réussites sportives évidemment à leurs efforts et à leur ténacité, ils le doivent aussi aux dispositifs spécifiques mis en place par l’établissement pour les soutenir dans leur double projet, sportif et d’études. Et force est de constater, au regard des résultats, que ces dispositifs s’avèrent utiles. Une utilité perçue de plus en plus tôt, puisque la plupart des sportifs sollicitent dès la 1re année la mise en place d’un cursus aménagé pour réaliser, soit la 1re année d’études en 2 ans, soit les 2 premières années sur 3 ans. De même, environ 230 heures de tutorat sont dispensées chaque année par des enseignants et 55 étudiants ont pu en bénéficier cette année. « Deux dispositifs importants », estime la responsable de la section. « Car, en aménageant leurs premières années, les étudiants libèrent du temps pour s’entraîner, pour travailler mais aussi pour optimiser la récupération. Quant au tutorat, c’est également une ressource importante, car cet accompagnement personnalisé s’adapte au rythme du sportif et renforce ses acquis. »
La responsable de la filière entend donner vie à d’autres projets. D’abord organiser l’élection du sportif du semestre ou de la saison, afin de mettre en lumière les plus performants. Autre projet auquel elle tient : organiser une rencontre entre sportifs de toutes les promotions. But de l’opération ? « Créer davantage de liens et partager sur les problématiques communes », explique Laurence Duboscq. « Ce qui peut faire gagner du temps aux nouveaux entrants qui profiteront et s’inspireront de l’expérience de leurs aînés. »