Les modalités

d’admissions

Vous pouvez intégrer l’INSA Toulouse après votre baccalauréat en 1ère année ou nous rejoindre en cours de cursus (année 2, 3 et 4) selon vos diplômes et passerelles possibles.
Il est également possible d’intégrer l’INSA Toulouse en apprentissage à partir de la 3ème année.

Intégrer l’insa

en 1ERE année

Avec un bac général

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Avec un bac STI2D ou STL

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Avec un bac étranger

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INTÉGRER L’INSA

EN 2ème, 3ème ANNÉE, ou en apprentissage C’EST POSSIBLE !

Vous avez validé une 1ère année de licence ou une 1ère année de CPGE ?

Vous intégrerez le cursus INSA en 2ème année. Retrouvez les modalités d’entrée qui le permettent.

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Vous avez validé un niveau bac + 2 minimum ?

Vous intégrerez le cursus INSA en 3ème année. Retrouvez les diplômes qui le permettent (DUT, BTS…)

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Vous pouvez poursuivre vos études en apprentissage ?

Vous intégrerez le cursus INSA en 3ème année dans l’une des 4 spécialités qui propose ce type de formation.

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INTÉGRER L’INSA

EN 4ème ANNÉE

Le recrutement en 4ème année est propre à chaque INSA. Il est ouvert à l’INSA Toulouse aux titulaires d’un diplôme L3 validé exclusivement en France, à l’exclusion des licences professionnelles, et aux titulaires d’un diplôme obtenu maîtrise ès-sciences de master 1 ou équivalent reconnu validé en France ou à l’étranger.

Vous êtes titulaire d’un diplôme de niveau Licence 3 validé exclusivement en France, d’un diplôme de maîtrise ès-sciences, de Master 1 ou équivalent reconnu validé en France ou à l’étranger.

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Vous êtes étudiant étranger, vous pouvez intégrer un master pour bachelor via le réseau n+i. Le réseau n+i regroupe près de 50 grandes écoles d’ingénieurs.

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En savoir plus

sur l’INSA Toulouse

Livret d’accueil des étudiants

Student Welcome Guide

Les Tarifs et droits d’inscription

de l’INSA Toulouse

Droits d’inscription élève ingénieur - étudiants français ou de la communauté européenne

Tarif 2022-2023
Droits de scolarité = 601€ (MAJ le 17/06/2022)

Attention : les droits pour l’année universitaire 2023/2024 sont susceptibles d’évoluer et seront connus au mois de juillet 2023)

Droits d’inscription au diplôme de Master - étudiants français ou de la communauté européenne

Tarif 2022-2023
Droits de scolarité = 243€ (MAJ le 17/06/2022)

Attention : les droits pour l’année universitaire 2023/2024 sont susceptibles d’évoluer et seront connus au mois de juillet 2023)

Droits d'inscription différenciés - étudiants extra-communautaires

La loi française prévoit que les étudiants extra-communautaires soient soumis aux droits d’inscription différenciés.

Vous pouvez consulter cette page pour obtenir plus de détail : Campus France – Droits d’inscription étudiants étrangers

Les droits d’inscription extra-communautaires à acquitter sont les suivants :

  • 2 770 € par an pour les années 1 et 2 du cursus ingénieur
  • 3 770 € par an pour les années 3 / 4 / 5 du cursus ingénieur et les masters (année 1 et 2)

Le paiement des droits d’inscription peut être acquitté en 3 fois. Le premier paiement est immédiat et doit être effectué lors de l’inscription en ligne.

Une fois inscrit, vous pourrez, si vous le souhaitez, faire part d’une situation sociale particulière, en remplissant un formulaire, le lien sera disponible courant juillet.

Seules les situations sociales des étudiants inscrits seront évaluées par l’assistante sociale.

Ne sont pas assujettis aux droits d’inscription différenciés : 

  • Ressortissants québécois
  • Inscrits dans un établissement d’enseignement supérieur français en 2018-2019
  • Résidents de longue durée
  • Domiciliés fiscalement ou rattachés à un foyer fiscal en France depuis plus de deux ans
  • Relevant du statut de réfugié ou de la protection subsidiaire (ou dont un parent ou le représentant légal relève de l’un de ces deux statuts)

Le montant des droits d’inscription à acquitter alors, est celui des droits d’inscription nationaux :

  • 601€ pour les années de 1 à 5 du cursus ingénieur
  • 243 € pour les années 1 et 2 des masters

Sont assujettis mais exonérés partiellement des droits d’inscription les étudiants extracommunautaires dans les situations suivantes : 

  • Originaires des pays exonérés en tant que nouvel entrant à l’INSA en 2024-2025
    Liste des Pays Exonérés droits différenciés 2024-2025
    Le montant des droits d’inscription à acquitter est celui des droits d’inscription nationaux UNIQUEMENT pour la première année d’inscription, pour les années suivantes vous serez soumis aux droits d’inscription en fonction de votre profil.

    Sont assujettis mais exonérés totalement des droits d’inscription les étudiants extra-communautaires dans les situations suivantes :

    • Boursiers du Gouvernement Français ou assimilés : aucun droit d’inscription n’est à acquitter.

    Attention ! En parallèle des droits d’inscription, peuvent être appliqués des frais spécifiques. Voir ci-dessous les tarifs des formations.

    Droits d’inscription - Filières internationales

    Des tarifs spécifiques sont appliqués aux Filières internationales, merci de consulter les pages suivantes, et de vous rapprocher des responsables de filières à l’adresse “Filières internationales “

    A noter : Les tarifs pour les filières internationales ne s’appliquent que pour la première année de formation à l’INSA Toulouse. A partir de la deuxième année, les étudiants sont soumis aux droits d’inscription correspondant à leur statut. Les étudiants extra-communautaires doivent donc s’acquitter des droits différenciés mentionnés ci-dessus.

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    Tél. : 05 61 55 95 27

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    135 avenue de Rangueil
    31077 Toulouse cedex 4
    Tél : 05 61 55 95 13
    Fax : 05 61 55 95 00

    Quatre d’entre eux, déjà diplômés ou en cours de cursus, avaient déjà fait la fierté de l’INSA Toulouse lors des précédents Jeux olympiques de Tokyo en 2021. À l’instar de Matthieu Androdias, jeune diplômé de l’INSA Toulouse à l’époque, monté sur la première marche du podium olympique en aviron de couple avec Hugo Boucheron, ou encore d’Ugo Didier, étudiant qui avait décroché, à seulement 19 ans, l’argent en 400 mètres nage libre et le bronze au 200 mètres 4 nages aux Jeux Paralympiques. Aujourd’hui, 10 étudiants sportifs de haut niveau de l’INSA Toulouse ont ouvert les « champs des possibles » pour une éventuelle participation à cette prestigieuse compétition.

     

    Vers une nouvelle participation aux JO pour quatre nageurs ?

    En natation, ils sont quatre, dont trois qui avaient déjà représenté la France aux précédents JO de Tokyo ! À leur tête, Ugo Didier, parce que c’est le seul, pour l'instant, à avoir la certitude de pouvoir aller briguer une autre médaille à Paris puisqu’il est d’ores et déjà qualifié pour les JO. Les autres doivent attendre les résultats qu'ils feront entre fin juin aux Championnats de France, pour savoir s’ils seront sélectionnés ou pas. Ugo Didier est étudiant en 4e année génie civil à l’INSA Toulouse et membre de l’équipe de France de natation paralympique. En 2023, il a décroché plusieurs médailles d'argent au Championnat du monde de Manchester : pour le 100 m dos, le 400 m et le 100 m nage libre, pour le 200 m 4 nages individuel et le relais 4×100 nage libre. Aujourd’hui, Ugo aimerait bien décrocher une, voire deux médailles d’or aux jeux de Paris, la seule couleur qui lui manque aux Jeux !

    Antoine Viquerat, étudiant en 5e année génie mécanique, pourrait aussi très bien à nouveau concourir dans l’épreuve de 200 m brasse après avoir fini demi-finaliste aux précédents JO. Il a notamment décroché, en 2021, les titres de champion de France du 50 et du 200 mètres brasse aux Championnats de France de natation à Chartres, ainsi qu’aux 100 mètres brasse aux Championnats de France d'hiver de natation à Montpellier, et été finaliste du relais 4x100 m quatre nages grand bassin en 2022 aux championnats d’Europe et du Monde.

    Autre « star » de la natation de l’INSA Toulouse, Lucile Tessariol, qui suscite beaucoup d’espoir pour une possible qualification en individuel sur les épreuves de 200 m et 400 m nage libre. Étudiante en 1re année, elle avait atteint la finale aux Jeux de Tokyo dans l’épreuve du 4x200 m nage libre féminin. Depuis, elle a aussi décroché deux médailles aux Championnats d’Europe 2022 et remporté le titre européen -23 ans sur le 200 m nage libre en 2023.

    Enfin, un autre espoir en natation, Antoine Herlem, pourrait être lui aussi qualifié à l'issue des championnats de France qui se dérouleront du 16 au 21 juin, pour l'épreuve de natation dos 200 m. Il a notamment fini à la 15e place pour le 200 m dos hommes - série lors des Championnats du monde 2023.

     

    Des champions du ballon en lice aussi

    En beach-volley, ils sont également deux sportifs de haut niveau à être pressentis pour aller défendre les couleurs de la France aux JO 2024.

    Il y a d’abord Arnaud Gauthier-Rat, qui avait déjà eu l’opportunité de se qualifier aux JO de la Jeunesse de Nankin en 2014, où il avait terminé à la 9e place avec son partenaire de l’époque, Arnaud Loiseau. Étudiant en 5e année au département génie électrique et informatique de l’INSA Toulouse, il avait notamment été sacré champion de France en 2019 et fini 15e au classement mondial de 2022.

    Clémence Vieira, étudiante en 3e année spécialité génie civil et joueuse en Équipe de France de beach-volley, évolue dans la même discipline. Elle est double championne de France en titre, championne du monde militaire 2023 et actuellement 37e mondiale.

    Adepte du ballon aussi, mais pas sur sable, Théo Faure, étudiant en 4e année génie physique, a également toutes ses chances d’être qualifié. Volleyeur professionnel depuis 2019, il évolue désormais en Italie, dans le club de Cisterna après être passé par les Spacers à Toulouse ou encore l’équipe de Montpellier avec laquelle il a été champion de France en 2022.

    Deux en course pour l’athlétisme

    En athlétisme, discipline historique des Jeux olympiques, trois SHN de l’INSA Toulouse affichaient aussi des prétentions pour les JO. Si l’un d’entre eux a hélas été blessé, Cyann Galtier-Villa, étudiant en 1re année IC (Ingénierie de la Construction) qui fait du demi-fond, les deux autres restent en lice pour briguer cette précieuse qualification : Tom Campagne, étudiant en 3e année spécialité Génie mécanique, qui fait de l’athlétisme depuis plus de 10 ans et s’est spécialisé dans le saut en longueur à haut niveau, et Alexa Lemitre, en 5e année GP3E (Génie des procédés : eau, énergie, environnement) pour l'épreuve de demi-fond.

    Enfin, une autre étudiante pourrait bien représenter la France sur une toute nouvelle discipline apparue aux JO de Tokyo, l’escalade de vitesse. Lison Gautron, étudiante en 3e année MIC-IR (Modélisation, informatique et communication), s’est spécialisée, il y a 4 ans de cela dans cette discipline après 14 ans d’escalade. À 20 ans, elle fait partie des grands espoirs de l’escalade de vitesse français, car elle compte déjà de nombreuses sélections en équipe de France : en Équipe de France jeunes, elle a notamment pu participer aux Championnats du Monde et d’Europe, terminant respectivement 10e et 3; elle a également participé à plusieurs étapes de la Coupe d’Europe dont une qu’elle a remportée ; et chez les seniors, elle a pu participer à une étape de Coupe d’Europe où elle a terminé 9e et à une Coupe du Monde où elle s’est classée 16e. Aujourd’hui, elle espère bien finir dans les 5 premières des OQS (Olympic Qualifier Series), compétitions qualificatives pour les JO de Paris.

     

    L’aide précieuse des parcours aménagés

    Si ces sportifs de haut niveau doivent en très grande partie leurs résultats et la possibilité de briguer une qualification aux JO à une motivation sans faille et un travail sans relâche depuis des années, ils le doivent aussi, en partie, à l’accompagnement spécifique dont ils bénéficient en tant que sportifs de haut niveau au sein de l’établissement.

    Ce dispositif proposé à l’échelle du Groupe INSA concerne près de 400 élèves. Il leur permet de suivre le cursus ingénieur tout en répondant aux contraintes d’entraînement et de participation aux compétitions. Une aide non négligeable, car nombreux s’accomplissent dans leur double projet, sans que cela soit au détriment de l’un ou de l’autre. À titre d’exemple, Matthieu Androdias avait pu déjà participer avant Tokyo, grâce à son cursus aménagé à l’INSA de Toulouse, à deux olympiades, les JO de Londres en 2012 et ceux de Rio en 2016. Arnaud Gauthier-Rat a pu de son côté entrer dans le top 20 au ranking mondial de sa discipline et être vainqueur en 2023 du grand chelem de Torquay en Australie...

    Pour Sylvie Rossard, responsable de ces profils particuliers qui évoluent à l’INSA Toulouse, ce dispositif répond parfaitement aux valeurs que porte l’INSA, entre autres former des ingénieurs qui soient ouverts et capables de s’épanouir dans d’autres domaines, le sport, la musique, l’art…

    Qu’ils soient qualifiés ou non, ces athlètes n’en restent pas moins brillants… et tenaces ! En effet, certains d’entre eux, à l’instar de Lucile Tessariol ou d’Arnaud Gauthier-Rat, affichent d’ores et déjà leur intention d’essayer de briguer une qualification pour les JO qui suivront à Los Angeles en 2028 !

     

     

    Rédaction : Camille Pons, journaliste

     

    Quatre d’entre eux, déjà diplômés ou en cours de cursus, avaient déjà fait la fierté de l’INSA Toulouse lors des précédents Jeux olympiques de Tokyo en 2021. À l’instar de Matthieu Androdias, jeune diplômé de l’INSA Toulouse à l’époque, monté sur la première marche du podium olympique en aviron de couple avec Hugo Boucheron, ou encore d’Ugo Didier, étudiant qui avait décroché, à seulement 19 ans, l’argent en 400 mètres nage libre et le bronze au 200 mètres 4 nages aux Jeux Paralympiques. Aujourd’hui, 10 étudiants sportifs de haut niveau de l’INSA Toulouse ont ouvert les « champs des possibles » pour une éventuelle participation à cette prestigieuse compétition.

     

    Vers une nouvelle participation aux JO pour quatre nageurs ?

    En natation, ils sont quatre, dont trois qui avaient déjà représenté la France aux précédents JO de Tokyo ! À leur tête, Ugo Didier, parce que c’est le seul, pour l'instant, à avoir la certitude de pouvoir aller briguer une autre médaille à Paris puisqu’il est d’ores et déjà qualifié pour les JO. Les autres doivent attendre les résultats qu'ils feront entre fin juin aux Championnats de France, pour savoir s’ils seront sélectionnés ou pas. Ugo Didier est étudiant en 4e année génie civil à l’INSA Toulouse et membre de l’équipe de France de natation paralympique. En 2023, il a décroché plusieurs médailles d'argent au Championnat du monde de Manchester : pour le 100 m dos, le 400 m et le 100 m nage libre, pour le 200 m 4 nages individuel et le relais 4×100 nage libre. Aujourd’hui, Ugo aimerait bien décrocher une, voire deux médailles d’or aux jeux de Paris, la seule couleur qui lui manque aux Jeux !

    Antoine Viquerat, étudiant en 5e année génie mécanique, pourrait aussi très bien à nouveau concourir dans l’épreuve de 200 m brasse après avoir fini demi-finaliste aux précédents JO. Il a notamment décroché, en 2021, les titres de champion de France du 50 et du 200 mètres brasse aux Championnats de France de natation à Chartres, ainsi qu’aux 100 mètres brasse aux Championnats de France d'hiver de natation à Montpellier, et été finaliste du relais 4x100 m quatre nages grand bassin en 2022 aux championnats d’Europe et du Monde.

    Autre « star » de la natation de l’INSA Toulouse, Lucile Tessariol, qui suscite beaucoup d’espoir pour une possible qualification en individuel sur les épreuves de 200 m et 400 m nage libre. Étudiante en 1re année, elle avait atteint la finale aux Jeux de Tokyo dans l’épreuve du 4x200 m nage libre féminin. Depuis, elle a aussi décroché deux médailles aux Championnats d’Europe 2022 et remporté le titre européen -23 ans sur le 200 m nage libre en 2023.

    Enfin, un autre espoir en natation, Antoine Herlem, pourrait être lui aussi qualifié à l'issue des championnats de France qui se dérouleront du 16 au 21 juin, pour l'épreuve de natation dos 200 m. Il a notamment fini à la 15e place pour le 200 m dos hommes - série lors des Championnats du monde 2023.

    Des champions du ballon en lice aussi

    En beach-volley, ils sont également deux sportifs de haut niveau à être pressentis pour aller défendre les couleurs de la France aux JO 2024.

    Il y a d’abord Arnaud Gauthier-Rat, qui avait déjà eu l’opportunité de se qualifier aux JO de la Jeunesse de Nankin en 2014, où il avait terminé à la 9e place avec son partenaire de l’époque, Arnaud Loiseau. Étudiant en 5e année au département génie électrique et informatique de l’INSA Toulouse, il avait notamment été sacré champion de France en 2019 et fini 15e au classement mondial de 2022.

    Clémence Vieira, étudiante en 3e année spécialité génie civil et joueuse en Équipe de France de beach-volley, évolue dans la même discipline. Elle est double championne de France en titre, championne du monde militaire 2023 et actuellement 37e mondiale.

    Adepte du ballon aussi, mais pas sur sable, Théo Faure, étudiant en 4e année génie physique, a également toutes ses chances d’être qualifié. Volleyeur professionnel depuis 2019, il évolue désormais en Italie, dans le club de Cisterna après être passé par les Spacers à Toulouse ou encore l’équipe de Montpellier avec laquelle il a été champion de France en 2022.

    Sportifs : Ugo Didier, Antoine Viquerat, Lucile Tissariol

    Dans un souci d'alléger le texte et sans aucune discrimination de genre, l'emploi du genre masculin est utilisé à titre épicène.