Science ouverte

L’INSA Toulouse mène depuis plusieurs années une politique volontariste et cohérente en faveur de la Science Ouverte. Cela a été marqué par la réalisation de formation des personnels depuis 2016, la création du portail HAL INSA Toulouse et la constitution de collections spécifiques pour les laboratoires rattachés à l’INSA dès 2017 ; puis en 2021  la rédaction du « Guide Science Ouverte » au sein du Groupe INSA.

L’établissement exprime son soutien aux principes de la déclaration de San Francisco sur l’évaluation de la recherche (DORA) et du manifeste de Leiden, qui mettent l’accent sur une approche qualitative de l’activité de recherche et des chercheurs. Une feuille de route composée de 40 actions opérationnelles et concrètes est mise en place, regroupées en sept piliers couvrant divers aspects de la Science Ouverte. 

CHIFFRES CLEFS

86 %

des publications INSA Toulouse sont ouvertes

15 622

Texte intégral dans HAL

 

COMPOSITION DU COPIL

Un comité de pilotage est chargé de suivre la mise en œuvre de cette feuille de route au sein de l’établissement, assurant ainsi une gouvernance et une politique solides. 

  • Christophe Chassot, Directeur de la Recherche 
  • Thierry Monteil, Vice Président du Conseil Scientifique 
  • Claire Oms Multon, membre du Conseil d’Administration 
  • Laurie Lacarriere, membre du Conseil des Etudes 
  • Daniele Fournier, Professeur émérite, Référente Intégrité Scientifique
  • Nicolas Dietrich, Professeur, Référent Ouverture de la Science vers la Société (OSS) 
  • Adrien Contesse, CSN, Administrateur des données et algorithmes et codes source de la recherche (ADAC) 
  • Marc Enrici, CSN 
  • Christophe Luc, CSN 
  • Maelle Cadiou, Bibliothèque (ADAC)  
  • Laetitia Guillard, Bibliothèque 
  • Aubin Buffière, Bibliothèque  
  • Carine Alvarez, Bibliothèque  
  • Ariane Abou Chakra, Référente diffusion de la culture scientifique
  • Stéphane Colin, membre du Conseil Scientifique 
  • Anaïs Moulis, Direction de la Recherche 

UN ENGAGEMENT EN 7 PILIERS

 

À travers cet engagement, l’INSA Toulouse affirme que l’ouverture de la science améliore la qualité, l’efficacité et l’impact de la recherche, et favorise la coopération scientifique et l’intégrité scientifique. L’INSA Toulouse souhaite poursuivre dans cette direction et entend mettre en œuvre une politique ambitieuse et participer activement à l’effort national et européen en la matière.

Une feuille de route décline 40 actions opérationnelles et concrètes regroupées en sept piliers :

0. GOUVERNANCE ET POLITIQUE

La mise en place d’une feuille de route science ouverte nécessite la mobilisation et la coordination d’un réseau d’acteurs. La direction de la recherche, le service commun de documentation et le référent science ouverte auprès de la CPU sont fortement mobilisés. D’autres acteurs ont vocation à participer à la mise en œuvre de cette politique et à participer à la diffusion des actions et des projets. Un fond de soutien pour la Science Ouverte viendra en appui de la politique définie.

1. PUBLICATIONS & ÉDITION OUVERTE

L’INSA Toulouse s’est engagé sur la voie de la science ouverte dès 2011 avec la création d’un serveur d’archive ouverte institutionnelle pour le dépôt des thèses. Avec l’adoption de HAL en 2017, comme réservoir officiel des publications des chercheurs de l’INSA Toulouse, l’établissement continue son travail d’accompagnement des chercheurs vers une science ouverte et responsable.

2. DONNÉES, CODES ET LOGICIELS

L’INSA Toulouse invite ses chercheurs à ouvrir leurs données selon le principe “aussi ouvert que possible, aussi fermé que nécessaire” en veillant au respect des principes FAIR (Faciles à trouver, Accessibles, Interopérables, Réutilisables) grâce aux outils qui seront mis à disposition par l’établissement et via le nouvel entrepôt « Recherche Data Gouv » lancé en 2022.

3. VALORISATION DE LA SCIENCE OUVERTE DANS L’ÉVALUATION DE LA RECHERCHE

Conformément aux principes portés par la déclaration de San Francisco sur l’évaluation de la recherche (DORA, 2012), l’INSA Toulouse s’engage à valoriser le contenu et la qualité de la production scientifique ouverte des personnels de recherche, des doctorantes et doctorants.
L’établissement souhaite réfléchir à instaurer de nouvelles méthodes d’évaluation en introduisant le critère de la science ouverte dans l’évaluation des enseignants-chercheurs et des unités de recherche chaque fois que cela sera possible et opportun.

4. INTÉGRITÉ DE LA RECHERCHE

En portant l’accent sur la transparence et le partage des données de la recherche, la science ouverte affirme le principe d’une recherche plus fiable et réutilisable dans le respect des règles de l’intégrité scientifique. L’INSA Toulouse s’engage à mettre en cohérence ses différents engagements et à les rendre visibles.

5. SCIENCE AVEC ET POUR LA SOCIÉTÉ

L’INSA Toulouse souhaite développer des actions en faveur de l’ouverture et du partage des recherches pour et avec les citoyens afin de favoriser l’égalité d’accès au savoir et la contribution de la société à la recherche académique. Des actions de sciences participatives sont déjà engagées, il s’agit de les renforcer, de les promouvoir et d’en développer de nouvelles.

6. FORMATIONS À LA SCIENCE OUVERTE ET ENSEIGNEMENTS LIBRES

Pour mettre en œuvre sa feuille de route, l’INSA Toulouse s’engage à informer les communautés scientifiques et étudiantes sur les enjeux de la science ouverte. Cela passera par différentes formes de sensibilisation : plan de formation ciblé pour accompagner la montée en compétences des acteurs en lien étroit avec l’unité régionale de formation à l’information scientifique et technique Occitanie (URFIST) et Mediad’Oc (Centre de Formation aux Carrières des Bibliothèques d’Occitanie), actions de formation auprès des étudiants de 4A, 5A et doctorants, sensibilisation des personnels, ateliers personnalisés, conférences et événements divers. En parallèle, l’INSA Toulouse soutient les initiatives locales, nationales et internationales en matière de science ouverte.

7. NOUVEAUX INDICATEURS & SUIVI DE LA SCIENCE OUVERTE

Le pilotage de la stratégie doit prendre appui sur des outils capables de mesurer les efforts et les résultats de la politique menée en faveur de la Science Ouverte. L’INSA Toulouse s’engage à affiner et mettre à jour le baromètre local de la Science Ouverte (déclinaison du baromètre national par le MESRI) et à définir les indicateurs nécessaires au suivi des actions.

 Baromètre Science ouverte de l’INSA Toulouse

 

Cette déclinaison du baromètre de la Science Ouverte pour l’INSA de Toulouse s’appuie sur l’outil national développé par le MESRI  et a pour objectif de mesurer l’évolution des pratiques en France à partir de données fiables, ouvertes et maîtrisées.

Au-delà des indicateurs généraux d’ouverture, retrouvez les 3 axes complémentaires du baromètre : 

Indicateurs par discipline

Indicateurs d'ouverture par éditeur

Indicateurs sur les types d'archives ouvertes utilisées

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Fax : 05 61 55 95 00

Quatre d’entre eux, déjà diplômés ou en cours de cursus, avaient déjà fait la fierté de l’INSA Toulouse lors des précédents Jeux olympiques de Tokyo en 2021. À l’instar de Matthieu Androdias, jeune diplômé de l’INSA Toulouse à l’époque, monté sur la première marche du podium olympique en aviron de couple avec Hugo Boucheron, ou encore d’Ugo Didier, étudiant qui avait décroché, à seulement 19 ans, l’argent en 400 mètres nage libre et le bronze au 200 mètres 4 nages aux Jeux Paralympiques. Aujourd’hui, 10 étudiants sportifs de haut niveau de l’INSA Toulouse ont ouvert les « champs des possibles » pour une éventuelle participation à cette prestigieuse compétition.

 

Vers une nouvelle participation aux JO pour quatre nageurs ?

En natation, ils sont quatre, dont trois qui avaient déjà représenté la France aux précédents JO de Tokyo ! À leur tête, Ugo Didier, parce que c’est le seul, pour l'instant, à avoir la certitude de pouvoir aller briguer une autre médaille à Paris puisqu’il est d’ores et déjà qualifié pour les JO. Les autres doivent attendre les résultats qu'ils feront entre fin juin aux Championnats de France, pour savoir s’ils seront sélectionnés ou pas. Ugo Didier est étudiant en 4e année génie civil à l’INSA Toulouse et membre de l’équipe de France de natation paralympique. En 2023, il a décroché plusieurs médailles d'argent au Championnat du monde de Manchester : pour le 100 m dos, le 400 m et le 100 m nage libre, pour le 200 m 4 nages individuel et le relais 4×100 nage libre. Aujourd’hui, Ugo aimerait bien décrocher une, voire deux médailles d’or aux jeux de Paris, la seule couleur qui lui manque aux Jeux !

Antoine Viquerat, étudiant en 5e année génie mécanique, pourrait aussi très bien à nouveau concourir dans l’épreuve de 200 m brasse après avoir fini demi-finaliste aux précédents JO. Il a notamment décroché, en 2021, les titres de champion de France du 50 et du 200 mètres brasse aux Championnats de France de natation à Chartres, ainsi qu’aux 100 mètres brasse aux Championnats de France d'hiver de natation à Montpellier, et été finaliste du relais 4x100 m quatre nages grand bassin en 2022 aux championnats d’Europe et du Monde.

Autre « star » de la natation de l’INSA Toulouse, Lucile Tessariol, qui suscite beaucoup d’espoir pour une possible qualification en individuel sur les épreuves de 200 m et 400 m nage libre. Étudiante en 1re année, elle avait atteint la finale aux Jeux de Tokyo dans l’épreuve du 4x200 m nage libre féminin. Depuis, elle a aussi décroché deux médailles aux Championnats d’Europe 2022 et remporté le titre européen -23 ans sur le 200 m nage libre en 2023.

Enfin, un autre espoir en natation, Antoine Herlem, pourrait être lui aussi qualifié à l'issue des championnats de France qui se dérouleront du 16 au 21 juin, pour l'épreuve de natation dos 200 m. Il a notamment fini à la 15e place pour le 200 m dos hommes - série lors des Championnats du monde 2023.

 

Des champions du ballon en lice aussi

En beach-volley, ils sont également deux sportifs de haut niveau à être pressentis pour aller défendre les couleurs de la France aux JO 2024.

Il y a d’abord Arnaud Gauthier-Rat, qui avait déjà eu l’opportunité de se qualifier aux JO de la Jeunesse de Nankin en 2014, où il avait terminé à la 9e place avec son partenaire de l’époque, Arnaud Loiseau. Étudiant en 5e année au département génie électrique et informatique de l’INSA Toulouse, il avait notamment été sacré champion de France en 2019 et fini 15e au classement mondial de 2022.

Clémence Vieira, étudiante en 3e année spécialité génie civil et joueuse en Équipe de France de beach-volley, évolue dans la même discipline. Elle est double championne de France en titre, championne du monde militaire 2023 et actuellement 37e mondiale.

Adepte du ballon aussi, mais pas sur sable, Théo Faure, étudiant en 4e année génie physique, a également toutes ses chances d’être qualifié. Volleyeur professionnel depuis 2019, il évolue désormais en Italie, dans le club de Cisterna après être passé par les Spacers à Toulouse ou encore l’équipe de Montpellier avec laquelle il a été champion de France en 2022.

Deux en course pour l’athlétisme

En athlétisme, discipline historique des Jeux olympiques, trois SHN de l’INSA Toulouse affichaient aussi des prétentions pour les JO. Si l’un d’entre eux a hélas été blessé, Cyann Galtier-Villa, étudiant en 1re année IC (Ingénierie de la Construction) qui fait du demi-fond, les deux autres restent en lice pour briguer cette précieuse qualification : Tom Campagne, étudiant en 3e année spécialité Génie mécanique, qui fait de l’athlétisme depuis plus de 10 ans et s’est spécialisé dans le saut en longueur à haut niveau, et Alexa Lemitre, en 5e année GP3E (Génie des procédés : eau, énergie, environnement) pour l'épreuve de demi-fond.

Enfin, une autre étudiante pourrait bien représenter la France sur une toute nouvelle discipline apparue aux JO de Tokyo, l’escalade de vitesse. Lison Gautron, étudiante en 3e année MIC-IR (Modélisation, informatique et communication), s’est spécialisée, il y a 4 ans de cela dans cette discipline après 14 ans d’escalade. À 20 ans, elle fait partie des grands espoirs de l’escalade de vitesse français, car elle compte déjà de nombreuses sélections en équipe de France : en Équipe de France jeunes, elle a notamment pu participer aux Championnats du Monde et d’Europe, terminant respectivement 10e et 3; elle a également participé à plusieurs étapes de la Coupe d’Europe dont une qu’elle a remportée ; et chez les seniors, elle a pu participer à une étape de Coupe d’Europe où elle a terminé 9e et à une Coupe du Monde où elle s’est classée 16e. Aujourd’hui, elle espère bien finir dans les 5 premières des OQS (Olympic Qualifier Series), compétitions qualificatives pour les JO de Paris.

 

L’aide précieuse des parcours aménagés

Si ces sportifs de haut niveau doivent en très grande partie leurs résultats et la possibilité de briguer une qualification aux JO à une motivation sans faille et un travail sans relâche depuis des années, ils le doivent aussi, en partie, à l’accompagnement spécifique dont ils bénéficient en tant que sportifs de haut niveau au sein de l’établissement.

Ce dispositif proposé à l’échelle du Groupe INSA concerne près de 400 élèves. Il leur permet de suivre le cursus ingénieur tout en répondant aux contraintes d’entraînement et de participation aux compétitions. Une aide non négligeable, car nombreux s’accomplissent dans leur double projet, sans que cela soit au détriment de l’un ou de l’autre. À titre d’exemple, Matthieu Androdias avait pu déjà participer avant Tokyo, grâce à son cursus aménagé à l’INSA de Toulouse, à deux olympiades, les JO de Londres en 2012 et ceux de Rio en 2016. Arnaud Gauthier-Rat a pu de son côté entrer dans le top 20 au ranking mondial de sa discipline et être vainqueur en 2023 du grand chelem de Torquay en Australie...

Pour Sylvie Rossard, responsable de ces profils particuliers qui évoluent à l’INSA Toulouse, ce dispositif répond parfaitement aux valeurs que porte l’INSA, entre autres former des ingénieurs qui soient ouverts et capables de s’épanouir dans d’autres domaines, le sport, la musique, l’art…

Qu’ils soient qualifiés ou non, ces athlètes n’en restent pas moins brillants… et tenaces ! En effet, certains d’entre eux, à l’instar de Lucile Tessariol ou d’Arnaud Gauthier-Rat, affichent d’ores et déjà leur intention d’essayer de briguer une qualification pour les JO qui suivront à Los Angeles en 2028 !

 

 

Rédaction : Camille Pons, journaliste

 

Quatre d’entre eux, déjà diplômés ou en cours de cursus, avaient déjà fait la fierté de l’INSA Toulouse lors des précédents Jeux olympiques de Tokyo en 2021. À l’instar de Matthieu Androdias, jeune diplômé de l’INSA Toulouse à l’époque, monté sur la première marche du podium olympique en aviron de couple avec Hugo Boucheron, ou encore d’Ugo Didier, étudiant qui avait décroché, à seulement 19 ans, l’argent en 400 mètres nage libre et le bronze au 200 mètres 4 nages aux Jeux Paralympiques. Aujourd’hui, 10 étudiants sportifs de haut niveau de l’INSA Toulouse ont ouvert les « champs des possibles » pour une éventuelle participation à cette prestigieuse compétition.

 

Vers une nouvelle participation aux JO pour quatre nageurs ?

En natation, ils sont quatre, dont trois qui avaient déjà représenté la France aux précédents JO de Tokyo ! À leur tête, Ugo Didier, parce que c’est le seul, pour l'instant, à avoir la certitude de pouvoir aller briguer une autre médaille à Paris puisqu’il est d’ores et déjà qualifié pour les JO. Les autres doivent attendre les résultats qu'ils feront entre fin juin aux Championnats de France, pour savoir s’ils seront sélectionnés ou pas. Ugo Didier est étudiant en 4e année génie civil à l’INSA Toulouse et membre de l’équipe de France de natation paralympique. En 2023, il a décroché plusieurs médailles d'argent au Championnat du monde de Manchester : pour le 100 m dos, le 400 m et le 100 m nage libre, pour le 200 m 4 nages individuel et le relais 4×100 nage libre. Aujourd’hui, Ugo aimerait bien décrocher une, voire deux médailles d’or aux jeux de Paris, la seule couleur qui lui manque aux Jeux !

Antoine Viquerat, étudiant en 5e année génie mécanique, pourrait aussi très bien à nouveau concourir dans l’épreuve de 200 m brasse après avoir fini demi-finaliste aux précédents JO. Il a notamment décroché, en 2021, les titres de champion de France du 50 et du 200 mètres brasse aux Championnats de France de natation à Chartres, ainsi qu’aux 100 mètres brasse aux Championnats de France d'hiver de natation à Montpellier, et été finaliste du relais 4x100 m quatre nages grand bassin en 2022 aux championnats d’Europe et du Monde.

Autre « star » de la natation de l’INSA Toulouse, Lucile Tessariol, qui suscite beaucoup d’espoir pour une possible qualification en individuel sur les épreuves de 200 m et 400 m nage libre. Étudiante en 1re année, elle avait atteint la finale aux Jeux de Tokyo dans l’épreuve du 4x200 m nage libre féminin. Depuis, elle a aussi décroché deux médailles aux Championnats d’Europe 2022 et remporté le titre européen -23 ans sur le 200 m nage libre en 2023.

Enfin, un autre espoir en natation, Antoine Herlem, pourrait être lui aussi qualifié à l'issue des championnats de France qui se dérouleront du 16 au 21 juin, pour l'épreuve de natation dos 200 m. Il a notamment fini à la 15e place pour le 200 m dos hommes - série lors des Championnats du monde 2023.

Des champions du ballon en lice aussi

En beach-volley, ils sont également deux sportifs de haut niveau à être pressentis pour aller défendre les couleurs de la France aux JO 2024.

Il y a d’abord Arnaud Gauthier-Rat, qui avait déjà eu l’opportunité de se qualifier aux JO de la Jeunesse de Nankin en 2014, où il avait terminé à la 9e place avec son partenaire de l’époque, Arnaud Loiseau. Étudiant en 5e année au département génie électrique et informatique de l’INSA Toulouse, il avait notamment été sacré champion de France en 2019 et fini 15e au classement mondial de 2022.

Clémence Vieira, étudiante en 3e année spécialité génie civil et joueuse en Équipe de France de beach-volley, évolue dans la même discipline. Elle est double championne de France en titre, championne du monde militaire 2023 et actuellement 37e mondiale.

Adepte du ballon aussi, mais pas sur sable, Théo Faure, étudiant en 4e année génie physique, a également toutes ses chances d’être qualifié. Volleyeur professionnel depuis 2019, il évolue désormais en Italie, dans le club de Cisterna après être passé par les Spacers à Toulouse ou encore l’équipe de Montpellier avec laquelle il a été champion de France en 2022.

Sportifs : Ugo Didier, Antoine Viquerat, Lucile Tissariol

Dans un souci d'alléger le texte et sans aucune discrimination de genre, l'emploi du genre masculin est utilisé à titre épicène.