Politique de protection des données personnelles
Utilisation des données personnelles collectées
Formulaires et newsletter
Les informations renseignées au travers de nos formulaires sont envoyées par email aux services concernés. Les données ne sont pas conservées dans le site internet.
Statistiques et mesures d’audience
Nous utilisons deux outils de mesure d’audience :
- Un premier outil qui est installé au sein même du site internet. Les adresses IP de nos visiteurs sont anonymisées et ne sont donc pas collectées.
- Nous utilisons ensuite Matomo, un service d’analyse d’audience externalisé du site internet. Cet outil collecte des informations de façon anonyme, l’adresse Ip est anonymisée, dans le but d’établir des rapports sur l’activité du site.
Politique de protection des données personnelles
L’INSA Toulouse utilise principalement des données à caractère personnel pour assurer ses activités de formation et de recherche, et ses relations externes.
La notion de donnée personnelle désigne toute information identifiant directement ou indirectement une personne physique.
En France, la réglementation informatique et libertés existe depuis la loi du 6 janvier 1978 relative à l’informatique, aux fichiers et aux libertés. Cette loi énonce comme principe que le traitement des données personnelles ne doit pas porter atteinte à notre vie privée et à nos libertés. Le RGPD, Règlement Général sur la Protection des Données, adopté au niveau européen le 27 avril 2016, s’applique à tous les états membres de l’Union européenne à partir du 25 mai 2018 et renouvelle le cadre juridique applicable.
Il renforce les droits des citoyens européens et leur donne plus de contrôle sur leurs données personnelles. Il responsabilise les acteurs traitant les données. L’objectif de ce règlement est de trouver l’équilibre entre la protection de la vie privée et des libertés, et le développement du numérique.
La modification principale est le passage d’une logique de déclaration préalable des traitements à une logique basée sur la responsabilité et la transparence.
Des nouveaux droits ont été ajoutés (droit à la limitation du traitement,…) aux droits existants (droit d’information, d’accès, de rectification, d’opposition, de retrait du consentement…).
L’INSA Toulouse s’est préoccupé depuis des années de la protection des données à caractère personnel. L’INSA Toulouse a ainsi désigné depuis avril 2009 un Correspondant Informatique et Libertés.
Pour se mettre en conformité avec le RGPD, l’INSA Toulouse s’engage dans la mise en œuvre d’une politique afin d’assurer une protection optimale des données et être en mesure de la démontrer en la documentant.
Ainsi, le délégué à la protection des données (ou Data Protection Officer) a été désigné auprès de la CNIL (désignation N° DPO-146207 ). Il a pris ses fonctions le 26/04/2024. Il est joignable à contact-dpo@insa-toulouse.fr. Le délégué exerce principalement des missions de pilotage, d’information, de conseil, et de coopération avec la CNIL. Il est le point de contact.
Ensuite, comme deuxième étape, pour mesurer concrètement l’impact du règlement européen sur la protection des données, et identifier les risques, les traitements seront recensés de façon précise et pour chacun d’eux seront déterminés :
- les objectifs poursuivis,
- les catégories de données personnelles traitées avec l’identification des données particulièrement sensibles,
- les acteurs internes et externes,
- l’origine et la destination des données avec la mention du transfert hors de l’Union européenne,
- la durée de conservation,
- les mesures de sécurité,
- la base juridique (consentement de la personne, obligation légale, contrat…).
Conformément aux préconisations de la CNIL les étapes suivantes de la mise en œuvre sont :
- sur la base de la cartographie, l’identification et la priorisation des actions à mener au regard des obligations et des risques,
- en cas de risques élevés, la réalisation d’étude d’impact afin de les gérer,
- la mise en place de procédures internes,
- la constitution et l’organisation de la documentation.
Autour du délégué sera constitué un Groupe Expert en charge de la feuille de route pour le déploiement du RGPD sur l’INSA. Le Groupe Expert pourra s’appuyer sur des relais dans les services et départements. Une politique de communication et de formation sera organisée à destination des personnels.
L’INSA Toulouse s’engage sur les règles suivantes :
- respecter le principe de proportionnalité entre la finalité des traitements et les données traitées,
- informer les personnes sur les traitements les concernant,
- prendre les mesures organisationnelles et techniques adéquates afin d’assurer la disponibilité, la confidentialité et la sécurité des données,
- assurer l’exercice des droits des personnes,
- encadrer les transferts de données,
- limiter la conservation des données tout en respectant les obligations légales d’archivage,
- en cas de violation de données, prévenir la CNIL et la personne en fonction du risque,
- contractualiser avec les sous-traitants afin de s’assurer qu’ils agissent en conformité avec le règlement européen.
Conformément au Règlement Général sur la Protection des Données, adopté au niveau européen le 27 avril 2016 et complété par la loi Informatique et Libertés du 6 janvier 1978 modifiée, vous bénéficiez des droits d’accès, de rectification, d’opposition, de limitation, du retrait du consentement. Vous pouvez exercer votre droit en envoyant un courrier électronique à contact-dpo@insa-toulouse.fr. Vous devez y joindre une photocopie de pièce d’identité.

INSA Toulouse
135 avenue de Rangueil
31077 Toulouse cedex 4
Tél : 05 61 55 95 13
Fax : 05 61 55 95 00

Dans un souci d'alléger le texte et sans aucune discrimination de genre, l'emploi du genre masculin est utilisé à titre épicène.
Certes, « pour ceux qui ont été mis en lumière et exposés aux fortes secousses émotionnelles suscitées par leur participation aux JO de Paris, la reprise a parfois pu être difficile », reconnaît Laurence Duboscq, la responsable de la section sport-études, lorsqu’on l’interroge sur les résultats obtenus durant la saison précédente. Mais globalement, se réjouit-elle, « la dynamique des résultats est entretenue tant chez les athlètes confirmés que chez ceux qui se révèlent ».
Parmi les « confirmés » qui affichent encore de belles performances, et dont « un certain nombre se projette déjà sur les JO 2028 », figurent les beach volleyeurs qui concouraient aux JO de Paris en 2024 : Arnaud Gauthier-Rat, qui a remporté la médaille d'argent au challenger Alanya 2025 avec l'équipe de France, et Clémence Vieira, qui a décroché le titre de vice-championne d’Europe senior avec l’équipe de France. Toujours brillant aussi, Théo Faure, qui avait remporté la médaille d’or aux JO avec l’équipe de France de volley-ball, a réalisé une très belle saison dans le club où il évolue, le Top Volley Latina en Italie. Ce qui lui a valu d’être encore sélectionné en équipe de France et de disputer en septembre dernier le Mondial de volley masculin aux Philippines. Enfin, du côté des « anciens » qui ont encore performé, figure aussi le para nageur Ugo Didier, décoré également aux Paralympiques de Paris de 3 médailles (une d’or et deux d’argent) : celui-ci cumule, à l’issue de cette nouvelle saison, les titres de champion de France sur 100m dos et 200m 4 nages et a ramené, à l’issue de sa participation aux championnats du monde de Singapour fin septembre, 3 des 15 médailles françaises, en bronze, sur 200m 4 nages, 100m nage libre et 100m dos.
Des « révélations »
Du côté de ceux qui « se sont révélés », citons, au plus haut niveau de compétition, deux athlètes qui évoluent au canoë-kayak : Mattéo Zanni, sacré champion du monde en descente canoë sprint individuel dans les moins de 23 ans (U23) et 2e par équipe dans cette même discipline, et Corentin Georgeon, arrivé à la 8e place de ces mêmes championnats avec l’équipe de France. Dans les révélations s’illustrent aussi Enola Hochdoerffer, qui a fini 3e au championnat du monde par équipe au beach tennis après avoir réalisé une performance équivalente, toujours en équipe, au championnat d’Europe, ou encore Clémence Cadeac, une golfeuse qui vient d’être sacrée, en septembre, championne d’Europe amateur avec l’équipe de France.
Ce ne sont pas les seules étudiantes de la section sport-études à avoir brillé en championnats d’Europe. Alison Bernardi a raflé deux titres de championne d’Europe sur les épreuves de roller vitesse du 5 km à points et du 10 km à élimination, à Gross-Gerau en Allemagne et une médaille de bronze aux Mondiaux récemment. Sarah Brunel et Salome Degeorges ont décroché ensemble, dans l’épreuve d’aviron en deux de couple U23 femme, le titre de championnes de France. Et Alix Klewinski a fini 3e au championnat d’Europe universitaire de basket-ball. Cette liste n’est pas exhaustive et elle est complétée par celle des athlètes qui ont décroché des titres de champions de France, universitaires ou de grandes écoles comme Emma Charlet ou Cyann Galtier Vila en demi-fond, Simon Gresse en Aviron.
Mise en lumière régulière de sportifs et rencontres entre promotions pour 2025
Si tous ces étudiants doivent ces réussites sportives évidemment à leurs efforts et à leur ténacité, ils le doivent aussi aux dispositifs spécifiques mis en place par l’établissement pour les soutenir dans leur double projet, sportif et d’études. Et force est de constater, au regard des résultats, que ces dispositifs s’avèrent utiles. Une utilité perçue de plus en plus tôt, puisque la plupart des sportifs sollicitent dès la 1re année la mise en place d’un cursus aménagé pour réaliser, soit la 1re année d’études en 2 ans, soit les 2 premières années sur 3 ans. De même, environ 230 heures de tutorat sont dispensées chaque année par des enseignants et 55 étudiants ont pu en bénéficier cette année. « Deux dispositifs importants », estime la responsable de la section. « Car, en aménageant leurs premières années, les étudiants libèrent du temps pour s’entraîner, pour travailler mais aussi pour optimiser la récupération. Quant au tutorat, c’est également une ressource importante, car cet accompagnement personnalisé s’adapte au rythme du sportif et renforce ses acquis. »
La responsable de la filière entend donner vie à d’autres projets. D’abord organiser l’élection du sportif du semestre ou de la saison, afin de mettre en lumière les plus performants. Autre projet auquel elle tient : organiser une rencontre entre sportifs de toutes les promotions. But de l’opération ? « Créer davantage de liens et partager sur les problématiques communes », explique Laurence Duboscq. « Ce qui peut faire gagner du temps aux nouveaux entrants qui profiteront et s’inspireront de l’expérience de leurs aînés. »
Des « révélations »
Du côté de ceux qui « se sont révélés », citons, au plus haut niveau de compétition, deux athlètes qui évoluent au canoë-kayak : Mattéo Zanni, sacré champion du monde en descente canoë sprint individuel dans les moins de 23 ans (U23) et 2e par équipe dans cette même discipline, et Corentin Georgeon, arrivé à la 8e place de ces mêmes championnats avec l’équipe de France. Dans les révélations s’illustrent aussi Enola Hochdoerffer, qui a fini 3e au championnat du monde par équipe au beach tennis après avoir réalisé une performance équivalente, toujours en équipe, au championnat d’Europe, ou encore Clémence Cadeac, une golfeuse qui vient d’être sacrée, en septembre, championne d’Europe amateur avec l’équipe de France.
Ce ne sont pas les seules étudiantes de la section sport-études à avoir brillé en championnats d’Europe. Alison Bernardi a raflé deux titres de championne d’Europe sur les épreuves de roller vitesse du 5 km à points et du 10 km à élimination, à Gross-Gerau en Allemagne et une médaille de bronze aux Mondiaux récemment. Sarah Brunel et Salome Degeorges ont décroché ensemble, dans l’épreuve d’aviron en deux de couple U23 femme, le titre de championnes de France. Et Alix Klewinski a fini 3e au championnat d’Europe universitaire de basket-ball. Cette liste n’est pas exhaustive et elle est complétée par celle des athlètes qui ont décroché des titres de champions de France, universitaires ou de grandes écoles comme Emma Charlet ou Cyann Galtier Vila en demi-fond, Simon Gresse en Aviron.
Mise en lumière régulière de sportifs et rencontres entre promotions pour 2025
Si tous ces étudiants doivent ces réussites sportives évidemment à leurs efforts et à leur ténacité, ils le doivent aussi aux dispositifs spécifiques mis en place par l’établissement pour les soutenir dans leur double projet, sportif et d’études. Et force est de constater, au regard des résultats, que ces dispositifs s’avèrent utiles. Une utilité perçue de plus en plus tôt, puisque la plupart des sportifs sollicitent dès la 1re année la mise en place d’un cursus aménagé pour réaliser, soit la 1re année d’études en 2 ans, soit les 2 premières années sur 3 ans. De même, environ 230 heures de tutorat sont dispensées chaque année par des enseignants et 55 étudiants ont pu en bénéficier cette année. « Deux dispositifs importants », estime la responsable de la section. « Car, en aménageant leurs premières années, les étudiants libèrent du temps pour s’entraîner, pour travailler mais aussi pour optimiser la récupération. Quant au tutorat, c’est également une ressource importante, car cet accompagnement personnalisé s’adapte au rythme du sportif et renforce ses acquis. »
La responsable de la filière entend donner vie à d’autres projets. D’abord organiser l’élection du sportif du semestre ou de la saison, afin de mettre en lumière les plus performants. Autre projet auquel elle tient : organiser une rencontre entre sportifs de toutes les promotions. But de l’opération ? « Créer davantage de liens et partager sur les problématiques communes », explique Laurence Duboscq. « Ce qui peut faire gagner du temps aux nouveaux entrants qui profiteront et s’inspireront de l’expérience de leurs aînés. »