étudier à

l’international

21

semaines
en moyenne

22.9%

d'étudiants
étrangers

86

nationalités
représentées

4

Filières
internationales

Politique

internationale

Les relations internationales sont au cœur de la stratégie de développement de l’INSA Toulouse. Elles conduisent l’internationalisation de l’établissement en soutenant durablement et en profondeur les partenariats académiques, scientifiques et industriels. Elles s’appuient sur une recherche de synergie formation-recherche-innovation qui structure la stratégie de coopération et stimule les mobilités des étudiants et des personnels.

Une équipe de 30 personnes met en œuvre au quotidien notre politique internationale

Des correspondants RI dans les pré-orientations et les départements, les coordinateurs des programmes internationaux (Asinsa, Iberinsa, Norginsa, Enginsa, n+i…), les personnels rattachés à la Direction des Relations Internationales, les chargés de mission et les responsables des Masters of Science se chargent de vous accompagner.

 

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INSA Toulouse, 
membre de l'alliance ECIU

L’INSA Toulouse, avec le Groupe INSA, est membre d’ECIU, alliance de 12 universités de l’Union Européenne qui placent l’innovation et le changement pour la société au cœur de leur mission.

 

+

Une formation
pour s’ouvrir sur le monde

Les élèves-ingénieurs de l’INSA Toulouse ont l’obligation de faire une mobilité à l’internationale d’une durée minimum de 16 semaines. Cette mobilité peut se faire dans le cadre d’un stage (en entreprise ou dans un laboratoire de recherche) ou dans le cadre d’un séjour d’études. Chaque année, environ 600 étudiants effectuent un séjour à l’étranger.

SEMESTRES D’ÉCHANGES

La mobilité d’études en semestre d’échange n’est possible qu’avec un établissement partenaire :

– En Europe dans le cadre du programme ERASMUS + ;
– Hors Europe dans le cadre d’accords de coopération (bilatéraux INSA Toulouse, Université de Toulouse, Groupe INSA, ECIU) ou dans le cadre de réseaux tel que BCI ou le programme n+i.

En savoir plus sur la mobilité d’études en semestre d’échange et sur la procédure de candidature : https://international.insa-toulouse.fr/fr/etudiants-insa/semestre-dechange/

DOUBLE DIPLÔMES

Le double-diplôme à l’étranger permet d’obtenir à la fois le diplôme de l’INSA Toulouse et celui de l’établissement partenaire moyennant un allongement de la durée d’étude d’environ 6 mois.

L’expérience de double diplôme est souvent décrite par des mots-clés tels que « ouverture d’esprit, autonomie, créativité, adaptabilité », autant d’aptitudes essentielles recherchées par les ingénieurs ouverts vers l’international. Les étudiants qui entreprennent un double diplôme recherchent principalement une complémentarité de formation. Le double diplôme offre ainsi une plus-value en termes d’emplois, de rémunération et de profils de carrière.

En savoir plus sur les doubles diplômes et sur la procédure de candidature : https://international.insa-toulouse.fr/fr/etudiants-insa/double-diplome/

 Les aides à la mobilité

Les aides à la mobilité sont des bourses destinées aux étudiants effectuant une mobilité à l’étranger. Ce sont des aides financières qui ne permettent pas de financer intégralement votre mobilité mais qui vous soutiennent dans sa réalisation.
Partir étudier/travailler à l’étranger peut représenter un coût non négligeable, nous vous conseillons de préparer soigneusement votre budget avant votre départ.
En fonction du type de mobilité (études/stage) et de votre situation personnelle (boursier ou non), vous pouvez prétendre à différentes aides.
Pour demander une aide financière en lien avec votre projet de mobilité, vous devez au préalable être inscrit dans notre établissement et être sélectionné pour participer à une mobilité.

En cas de difficultés financières importantes, il est possible de demander une aide ponctuelle auprès de la commission sociale (prendre rendez-vous avec l’assistante sociale).

Étudiants en situation de handicap, vous avez la possibilité de bénéficier d’une aide spécifique dans le cadre du programme ERASMUS+ pour une mobilité en Europe.

Les questions fréquentes – FAQ

Qu’est-ce que la DRI ?

La Direction des Relations Internationales (DRI) gère les départs à l’étranger, les bourses d’aide aux départs ainsi que l’accueil des étudiants étrangers. Elle s’occupe également de formaliser les accords d’échange avec les partenaires étrangers. La DRI est située en face de Bib’INSA.

Ce que la DRI ne fait pas :
– gestion des logements pour les étudiants INSA en partance à l’international,
– gestion des visas pour les étudiants,
– gestion des aspects liés aux transports, aux assurances, …

Quelles sont les universités étrangères partenaires ?

La liste des universités partenaires est disponible sur le publicateur MoveOn accessible ici. Tu trouveras toutes les possibilités d’échange selon ta spécialité.

Quels sont les programmes de mobilités possibles ?
  • Erasmus + : pour un séjour dans un pays européen
  • Accords bilétéraux avec l’INSA Toulouse ou accords du Groupe INSA ou de l’Université de Toulouse : pour des destinations Europe & hors-Europe
  • Les programmes FITEC (ARFITEC, MEXFITEC, BRAFITEC) : basés sur la notion de partenariats proposés sous forme de projets. A destination de l’Argentine, du Mexique et du Brésil
  • Accord via réseaux : BCI pour le Canada et N+i pour la Chine et la Thaïlande
A partir de quelle année puis-je partir à l’étranger ?

Les coordinateurs du STPI peuvent vous aider à partir dès la 2ème année mais l’essentiel des départs se font en 3ème, 4ème et 5ème année.

Quels séjours à l'étranger sont pris en compte dans les 16 semaines obligatoires ?

Les séjours d’études, les stages mais aussi les stages linguistiques, ouvriers, les actions humanitaires ou les petits boulots effectués pendant les études à l’INSA peuvent être comptabilisés dans le nombre de semaines obligatoires. Les séjours touristiques n’entrent pas dans ce cadre.

Je suis de nationalité étrangère, dois-je effectuer une mobilité ?

Si vous êtes étudiant à l’INSA Toulouse et de nationalité étrangère, vos études supérieures en France sont considérées comme une mobilité d’études et vous n’avez pas l’obligation d’effectuer une mobilité supplémentaire. Cette règle ne s’applique pas si vous avez fait vos études secondaires et passé le bac en France.

Je suis étudiant apprenti, dois-je effectuer une mobilité ?

Oui, les étudiants apprentis à l’INSA Toulouse doivent effectuer une mobilité obligatoire de 12 semaines, selon les mêmes règles que les autres étudiants.

Contacts
Direction des Relations internationales

Pour toutes demandes relatives à la mobilité sortante (vers des partenaires étrangers) : relint.outgoing@insa-toulouse.fr
Pour toutes demandes relatives à la mobilité entrante (pour intégrer l’INSA Toulouse) : relint.incoming@insa-toulouse.fr

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Tél : 05 61 55 95 13
Fax : 05 61 55 95 00

Quatre d’entre eux, déjà diplômés ou en cours de cursus, avaient déjà fait la fierté de l’INSA Toulouse lors des précédents Jeux olympiques de Tokyo en 2021. À l’instar de Matthieu Androdias, jeune diplômé de l’INSA Toulouse à l’époque, monté sur la première marche du podium olympique en aviron de couple avec Hugo Boucheron, ou encore d’Ugo Didier, étudiant qui avait décroché, à seulement 19 ans, l’argent en 400 mètres nage libre et le bronze au 200 mètres 4 nages aux Jeux Paralympiques. Aujourd’hui, 10 étudiants sportifs de haut niveau de l’INSA Toulouse ont ouvert les « champs des possibles » pour une éventuelle participation à cette prestigieuse compétition.

 

Vers une nouvelle participation aux JO pour quatre nageurs ?

En natation, ils sont quatre, dont trois qui avaient déjà représenté la France aux précédents JO de Tokyo ! À leur tête, Ugo Didier, parce que c’est le seul, pour l'instant, à avoir la certitude de pouvoir aller briguer une autre médaille à Paris puisqu’il est d’ores et déjà qualifié pour les JO. Les autres doivent attendre les résultats qu'ils feront entre fin juin aux Championnats de France, pour savoir s’ils seront sélectionnés ou pas. Ugo Didier est étudiant en 4e année génie civil à l’INSA Toulouse et membre de l’équipe de France de natation paralympique. En 2023, il a décroché plusieurs médailles d'argent au Championnat du monde de Manchester : pour le 100 m dos, le 400 m et le 100 m nage libre, pour le 200 m 4 nages individuel et le relais 4×100 nage libre. Aujourd’hui, Ugo aimerait bien décrocher une, voire deux médailles d’or aux jeux de Paris, la seule couleur qui lui manque aux Jeux !

Antoine Viquerat, étudiant en 5e année génie mécanique, pourrait aussi très bien à nouveau concourir dans l’épreuve de 200 m brasse après avoir fini demi-finaliste aux précédents JO. Il a notamment décroché, en 2021, les titres de champion de France du 50 et du 200 mètres brasse aux Championnats de France de natation à Chartres, ainsi qu’aux 100 mètres brasse aux Championnats de France d'hiver de natation à Montpellier, et été finaliste du relais 4x100 m quatre nages grand bassin en 2022 aux championnats d’Europe et du Monde.

Autre « star » de la natation de l’INSA Toulouse, Lucile Tessariol, qui suscite beaucoup d’espoir pour une possible qualification en individuel sur les épreuves de 200 m et 400 m nage libre. Étudiante en 1re année, elle avait atteint la finale aux Jeux de Tokyo dans l’épreuve du 4x200 m nage libre féminin. Depuis, elle a aussi décroché deux médailles aux Championnats d’Europe 2022 et remporté le titre européen -23 ans sur le 200 m nage libre en 2023.

Enfin, un autre espoir en natation, Antoine Herlem, pourrait être lui aussi qualifié à l'issue des championnats de France qui se dérouleront du 16 au 21 juin, pour l'épreuve de natation dos 200 m. Il a notamment fini à la 15e place pour le 200 m dos hommes - série lors des Championnats du monde 2023.

 

Des champions du ballon en lice aussi

En beach-volley, ils sont également deux sportifs de haut niveau à être pressentis pour aller défendre les couleurs de la France aux JO 2024.

Il y a d’abord Arnaud Gauthier-Rat, qui avait déjà eu l’opportunité de se qualifier aux JO de la Jeunesse de Nankin en 2014, où il avait terminé à la 9e place avec son partenaire de l’époque, Arnaud Loiseau. Étudiant en 5e année au département génie électrique et informatique de l’INSA Toulouse, il avait notamment été sacré champion de France en 2019 et fini 15e au classement mondial de 2022.

Clémence Vieira, étudiante en 3e année spécialité génie civil et joueuse en Équipe de France de beach-volley, évolue dans la même discipline. Elle est double championne de France en titre, championne du monde militaire 2023 et actuellement 37e mondiale.

Adepte du ballon aussi, mais pas sur sable, Théo Faure, étudiant en 4e année génie physique, a également toutes ses chances d’être qualifié. Volleyeur professionnel depuis 2019, il évolue désormais en Italie, dans le club de Cisterna après être passé par les Spacers à Toulouse ou encore l’équipe de Montpellier avec laquelle il a été champion de France en 2022.

Deux en course pour l’athlétisme

En athlétisme, discipline historique des Jeux olympiques, trois SHN de l’INSA Toulouse affichaient aussi des prétentions pour les JO. Si l’un d’entre eux a hélas été blessé, Cyann Galtier-Villa, étudiant en 1re année IC (Ingénierie de la Construction) qui fait du demi-fond, les deux autres restent en lice pour briguer cette précieuse qualification : Tom Campagne, étudiant en 3e année spécialité Génie mécanique, qui fait de l’athlétisme depuis plus de 10 ans et s’est spécialisé dans le saut en longueur à haut niveau, et Alexa Lemitre, en 5e année GP3E (Génie des procédés : eau, énergie, environnement) pour l'épreuve de demi-fond.

Enfin, une autre étudiante pourrait bien représenter la France sur une toute nouvelle discipline apparue aux JO de Tokyo, l’escalade de vitesse. Lison Gautron, étudiante en 3e année MIC-IR (Modélisation, informatique et communication), s’est spécialisée, il y a 4 ans de cela dans cette discipline après 14 ans d’escalade. À 20 ans, elle fait partie des grands espoirs de l’escalade de vitesse français, car elle compte déjà de nombreuses sélections en équipe de France : en Équipe de France jeunes, elle a notamment pu participer aux Championnats du Monde et d’Europe, terminant respectivement 10e et 3; elle a également participé à plusieurs étapes de la Coupe d’Europe dont une qu’elle a remportée ; et chez les seniors, elle a pu participer à une étape de Coupe d’Europe où elle a terminé 9e et à une Coupe du Monde où elle s’est classée 16e. Aujourd’hui, elle espère bien finir dans les 5 premières des OQS (Olympic Qualifier Series), compétitions qualificatives pour les JO de Paris.

 

L’aide précieuse des parcours aménagés

Si ces sportifs de haut niveau doivent en très grande partie leurs résultats et la possibilité de briguer une qualification aux JO à une motivation sans faille et un travail sans relâche depuis des années, ils le doivent aussi, en partie, à l’accompagnement spécifique dont ils bénéficient en tant que sportifs de haut niveau au sein de l’établissement.

Ce dispositif proposé à l’échelle du Groupe INSA concerne près de 400 élèves. Il leur permet de suivre le cursus ingénieur tout en répondant aux contraintes d’entraînement et de participation aux compétitions. Une aide non négligeable, car nombreux s’accomplissent dans leur double projet, sans que cela soit au détriment de l’un ou de l’autre. À titre d’exemple, Matthieu Androdias avait pu déjà participer avant Tokyo, grâce à son cursus aménagé à l’INSA de Toulouse, à deux olympiades, les JO de Londres en 2012 et ceux de Rio en 2016. Arnaud Gauthier-Rat a pu de son côté entrer dans le top 20 au ranking mondial de sa discipline et être vainqueur en 2023 du grand chelem de Torquay en Australie...

Pour Sylvie Rossard, responsable de ces profils particuliers qui évoluent à l’INSA Toulouse, ce dispositif répond parfaitement aux valeurs que porte l’INSA, entre autres former des ingénieurs qui soient ouverts et capables de s’épanouir dans d’autres domaines, le sport, la musique, l’art…

Qu’ils soient qualifiés ou non, ces athlètes n’en restent pas moins brillants… et tenaces ! En effet, certains d’entre eux, à l’instar de Lucile Tessariol ou d’Arnaud Gauthier-Rat, affichent d’ores et déjà leur intention d’essayer de briguer une qualification pour les JO qui suivront à Los Angeles en 2028 !

 

 

Rédaction : Camille Pons, journaliste

 

Quatre d’entre eux, déjà diplômés ou en cours de cursus, avaient déjà fait la fierté de l’INSA Toulouse lors des précédents Jeux olympiques de Tokyo en 2021. À l’instar de Matthieu Androdias, jeune diplômé de l’INSA Toulouse à l’époque, monté sur la première marche du podium olympique en aviron de couple avec Hugo Boucheron, ou encore d’Ugo Didier, étudiant qui avait décroché, à seulement 19 ans, l’argent en 400 mètres nage libre et le bronze au 200 mètres 4 nages aux Jeux Paralympiques. Aujourd’hui, 10 étudiants sportifs de haut niveau de l’INSA Toulouse ont ouvert les « champs des possibles » pour une éventuelle participation à cette prestigieuse compétition.

 

Vers une nouvelle participation aux JO pour quatre nageurs ?

En natation, ils sont quatre, dont trois qui avaient déjà représenté la France aux précédents JO de Tokyo ! À leur tête, Ugo Didier, parce que c’est le seul, pour l'instant, à avoir la certitude de pouvoir aller briguer une autre médaille à Paris puisqu’il est d’ores et déjà qualifié pour les JO. Les autres doivent attendre les résultats qu'ils feront entre fin juin aux Championnats de France, pour savoir s’ils seront sélectionnés ou pas. Ugo Didier est étudiant en 4e année génie civil à l’INSA Toulouse et membre de l’équipe de France de natation paralympique. En 2023, il a décroché plusieurs médailles d'argent au Championnat du monde de Manchester : pour le 100 m dos, le 400 m et le 100 m nage libre, pour le 200 m 4 nages individuel et le relais 4×100 nage libre. Aujourd’hui, Ugo aimerait bien décrocher une, voire deux médailles d’or aux jeux de Paris, la seule couleur qui lui manque aux Jeux !

Antoine Viquerat, étudiant en 5e année génie mécanique, pourrait aussi très bien à nouveau concourir dans l’épreuve de 200 m brasse après avoir fini demi-finaliste aux précédents JO. Il a notamment décroché, en 2021, les titres de champion de France du 50 et du 200 mètres brasse aux Championnats de France de natation à Chartres, ainsi qu’aux 100 mètres brasse aux Championnats de France d'hiver de natation à Montpellier, et été finaliste du relais 4x100 m quatre nages grand bassin en 2022 aux championnats d’Europe et du Monde.

Autre « star » de la natation de l’INSA Toulouse, Lucile Tessariol, qui suscite beaucoup d’espoir pour une possible qualification en individuel sur les épreuves de 200 m et 400 m nage libre. Étudiante en 1re année, elle avait atteint la finale aux Jeux de Tokyo dans l’épreuve du 4x200 m nage libre féminin. Depuis, elle a aussi décroché deux médailles aux Championnats d’Europe 2022 et remporté le titre européen -23 ans sur le 200 m nage libre en 2023.

Enfin, un autre espoir en natation, Antoine Herlem, pourrait être lui aussi qualifié à l'issue des championnats de France qui se dérouleront du 16 au 21 juin, pour l'épreuve de natation dos 200 m. Il a notamment fini à la 15e place pour le 200 m dos hommes - série lors des Championnats du monde 2023.

Des champions du ballon en lice aussi

En beach-volley, ils sont également deux sportifs de haut niveau à être pressentis pour aller défendre les couleurs de la France aux JO 2024.

Il y a d’abord Arnaud Gauthier-Rat, qui avait déjà eu l’opportunité de se qualifier aux JO de la Jeunesse de Nankin en 2014, où il avait terminé à la 9e place avec son partenaire de l’époque, Arnaud Loiseau. Étudiant en 5e année au département génie électrique et informatique de l’INSA Toulouse, il avait notamment été sacré champion de France en 2019 et fini 15e au classement mondial de 2022.

Clémence Vieira, étudiante en 3e année spécialité génie civil et joueuse en Équipe de France de beach-volley, évolue dans la même discipline. Elle est double championne de France en titre, championne du monde militaire 2023 et actuellement 37e mondiale.

Adepte du ballon aussi, mais pas sur sable, Théo Faure, étudiant en 4e année génie physique, a également toutes ses chances d’être qualifié. Volleyeur professionnel depuis 2019, il évolue désormais en Italie, dans le club de Cisterna après être passé par les Spacers à Toulouse ou encore l’équipe de Montpellier avec laquelle il a été champion de France en 2022.

Sportifs : Ugo Didier, Antoine Viquerat, Lucile Tissariol

Dans un souci d'alléger le texte et sans aucune discrimination de genre, l'emploi du genre masculin est utilisé à titre épicène.