L’Actu – Octobre 2025

Cette nouvelle rentrée a démarré sur de beaux bilans. Celui des étudiants de la section sport études qui ont ramené d’excellents résultats sportifs. Celui de la 1re école d’été destinée aux lycéens modestes pour qu’ils se projettent dans l’univers du supérieur et des sciences. Celui du 1er laboratoire commun public/privé, qui a permis l’éclosion d’une première innovation. De nouveaux projets sont aussi sur les rails, comme ceux menés pour offrir une mobilité de choix aux étudiants. Malgré tout, cette rentrée a été aussi assombrie par la disparition soudaine de Laurent Grégoire, qui avait créé et piloté nos filières artistiques et INS’Art.

Laurent Grégoire


L’ADIEU À LAURENT GRÉGOIRE MAIS PAS
À SON HÉRITAGE

À 59 ans seulement, Laurent Grégoire a brusquement tiré sa révérence, à la plus grande tristesse de tous. Musicien et chef d’orchestre professionnel, cet homme passionné avait rejoint l’INSA Toulouse il y a 25 ans pour, ici aussi, composer, mettre en musique et orchestrer des programmes novateurs : 3 filières artistiques qui permettent à des élèves musiciens, danseurs et comédiens confirmés de continuer à pratiquer leur art durant leur cursus d’ingénieur, puis INS’Art, pour, cette fois-ci, emmener tous les étudiants à la découverte de la culture.

Responsables des CRITT

RÉSULTATS SPORTIFS : TOUJOURS « PLUS VITE, PLUS HAUT, PLUS FORT – ENSEMBLE »

Les émotions suscitées par les JO de Paris, où nombre d’entre eux ont brillé, n’auront pas altéré l’esprit de « gagne » des étudiants de la section sport études. Ils ont été à nouveau performants durant la dernière saison, à tous les niveaux de compétition. De belles raisons de continuer à les accompagner via les dispositifs spécifiques déjà existants, mais aussi au travers de nouveaux projets.

école d'été

DANS LE BAIN DES SCIENCES APPLIQUÉES POUR RÉFLECHIR À SON ORIENTATION

La première école d’été dédiée aux lycéens d’origine modeste a été organisée à l’INSA Toulouse. L’action vise à sensibiliser ces élèves à l’univers des sciences et de l’ingénierie en amont des vœux qu’ils feront sur Parcoursup. Elle les incite aussi à rêver à des métiers auxquels ils ne pensent pas forcément en les plongeant dans un univers préfigurant leur future vie étudiante.

élève avec un globe

UN ÉTABLISSEMENT ENGAGÉ POUR LA MOBILITÉ DE SES ÉTUDIANTS

La Journée internationale du 2 octobre a été l’occasion, non seulement de donner des informations pratiques aux étudiants pour leur mobilité internationale, mais aussi de leur donner à voir les universités – et destinations – de choix auxquelles ils ont accès grâce aux partenariats de qualité noués par l’INSA. Parmi elles, comptent Georgia Tech aux États-Unis ou encore Polytechnique Montréal…

ressort

À l’INSA TOULOUSE, LA RECHERCHE A DU RESSORT

Depuis 2018, des chercheurs de l’INSA et des personnels de l’entreprise internationale CGR partagent un laboratoire commun, STRAIN. L’intérêt de ce modèle partenarial au-delà du partage de la gouvernance et des ressources ? Garantir vraiment l’innovation sur la base des résultats tirés des travaux de recherche. C’est ainsi qu’est né un premier outil numérique d’assistance à la fabrication de ressorts.

portrait_Germain_GARCIA

 

germain garcia

Toute une vie à l’INSA… Entré en tant qu’étudiant ingénieur, Germain Garcia y a fait sa thèse, exercé en tant qu’enseignant-chercheur et assumé de nombreuses responsabilités. Passionné au caractère bien « trempé », il continuera, en tant que professeur émérite, d’enseigner et de chercher encore.

Directrice de publication : Alexandra Bertron
Rédaction : Camille Pons
Comité de rédaction, réalisation : service communication

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Dans un souci d'alléger le texte et sans aucune discrimination de genre, l'emploi du genre masculin est utilisé à titre épicène.

Certes, « pour ceux qui ont été mis en lumière et exposés aux fortes secousses émotionnelles suscitées par leur participation aux JO de Paris, la reprise a parfois pu être difficile », reconnaît Laurence Duboscq, la responsable de la section sport-études, lorsqu’on l’interroge sur les résultats obtenus durant la saison précédente. Mais globalement, se réjouit-elle, « la dynamique des résultats est entretenue tant chez les athlètes confirmés que chez ceux qui se révèlent ».   

Parmi les « confirmés » qui affichent encore de belles performances, et dont « un certain nombre se projette déjà sur les JO 2028 », figurent les beach volleyeurs qui concouraient aux JO de Paris en 2024 : Arnaud Gauthier-Rat, qui a remporté la médaille d'argent au challenger Alanya 2025 avec l'équipe de France, et Clémence Vieira, qui a décroché le titre de vice-championne d’Europe senior avec l’équipe de France. Toujours brillant aussi, Théo Faure, qui avait remporté la médaille d’or aux JO avec l’équipe de France de volley-ball, a réalisé une très belle saison dans le club où il évolue, le Top Volley Latina en Italie. Ce qui lui a valu d’être encore sélectionné en équipe de France et de disputer en septembre dernier le Mondial de volley masculin aux Philippines. Enfin, du côté des « anciens » qui ont encore performé, figure aussi le para nageur Ugo Didier, décoré également aux Paralympiques de Paris de 3 médailles (une d’or et deux d’argent) : celui-ci cumule, à l’issue de cette nouvelle saison, les titres de champion de France sur 100m dos et 200m 4 nages et a ramené, à l’issue de sa participation aux championnats du monde de Singapour fin septembre, 3 des 15 médailles françaises, en bronze, sur 200m 4 nages, 100m nage libre et 100m dos.

Des « révélations »

Du côté de ceux qui « se sont révélés », citons, au plus haut niveau de compétition, deux athlètes qui évoluent au canoë-kayak : Mattéo Zanni, sacré champion du monde en descente canoë sprint individuel dans les moins de 23 ans (U23) et 2e par équipe dans cette même discipline, et Corentin Georgeon, arrivé à la 8e place de ces mêmes championnats avec l’équipe de France. Dans les révélations s’illustrent aussi Enola Hochdoerffer, qui a fini 3e au championnat du monde par équipe au beach tennis après avoir réalisé une performance équivalente, toujours en équipe, au championnat d’Europe, ou encore Clémence Cadeac, une golfeuse qui vient d’être sacrée, en septembre, championne d’Europe amateur avec l’équipe de France.

Ce ne sont pas les seules étudiantes de la section sport-études à avoir brillé en championnats d’Europe. Alison Bernardi a raflé deux titres de championne d’Europe sur les épreuves de roller vitesse du 5 km à points et du 10 km à élimination, à Gross-Gerau en Allemagne et une médaille de bronze aux Mondiaux récemment. Sarah Brunel et Salome Degeorges ont décroché ensemble, dans l’épreuve d’aviron en deux de couple U23 femme, le titre de championnes de France. Et Alix Klewinski a fini 3e au championnat d’Europe universitaire de basket-ball. Cette liste n’est pas exhaustive et elle est complétée par celle des athlètes qui ont décroché des titres de champions de France, universitaires ou de grandes écoles comme Emma Charlet ou Cyann Galtier Vila en demi-fond, Simon Gresse en Aviron.

Mise en lumière régulière de sportifs et rencontres entre promotions pour 2025

Si tous ces étudiants doivent ces réussites sportives évidemment à leurs efforts et à leur ténacité, ils le doivent aussi aux dispositifs spécifiques mis en place par l’établissement pour les soutenir dans leur double projet, sportif et d’études. Et force est de constater, au regard des résultats, que ces dispositifs s’avèrent utiles. Une utilité perçue de plus en plus tôt, puisque la plupart des sportifs sollicitent dès la 1re année la mise en place d’un cursus aménagé pour réaliser, soit la 1re année d’études en 2 ans, soit les 2 premières années sur 3 ans. De même, environ 230 heures de tutorat sont dispensées chaque année par des enseignants et 55 étudiants ont pu en bénéficier cette année. « Deux dispositifs importants », estime la responsable de la section. « Car, en aménageant leurs premières années, les étudiants libèrent du temps pour s’entraîner, pour travailler mais aussi pour optimiser la récupération. Quant au tutorat, c’est également une ressource importante, car cet accompagnement personnalisé s’adapte au rythme du sportif et renforce ses acquis. »

La responsable de la filière entend donner vie à d’autres projets. D’abord organiser l’élection du sportif du semestre ou de la saison, afin de mettre en lumière les plus performants. Autre projet auquel elle tient : organiser une rencontre entre sportifs de toutes les promotions. But de l’opération ? « Créer davantage de liens et partager sur les problématiques communes », explique Laurence Duboscq. « Ce qui peut faire gagner du temps aux nouveaux entrants qui profiteront et s’inspireront de l’expérience de leurs aînés. »

 

Des « révélations »

Du côté de ceux qui « se sont révélés », citons, au plus haut niveau de compétition, deux athlètes qui évoluent au canoë-kayak : Mattéo Zanni, sacré champion du monde en descente canoë sprint individuel dans les moins de 23 ans (U23) et 2e par équipe dans cette même discipline, et Corentin Georgeon, arrivé à la 8e place de ces mêmes championnats avec l’équipe de France. Dans les révélations s’illustrent aussi Enola Hochdoerffer, qui a fini 3e au championnat du monde par équipe au beach tennis après avoir réalisé une performance équivalente, toujours en équipe, au championnat d’Europe, ou encore Clémence Cadeac, une golfeuse qui vient d’être sacrée, en septembre, championne d’Europe amateur avec l’équipe de France.

Ce ne sont pas les seules étudiantes de la section sport-études à avoir brillé en championnats d’Europe. Alison Bernardi a raflé deux titres de championne d’Europe sur les épreuves de roller vitesse du 5 km à points et du 10 km à élimination, à Gross-Gerau en Allemagne et une médaille de bronze aux Mondiaux récemment. Sarah Brunel et Salome Degeorges ont décroché ensemble, dans l’épreuve d’aviron en deux de couple U23 femme, le titre de championnes de France. Et Alix Klewinski a fini 3e au championnat d’Europe universitaire de basket-ball. Cette liste n’est pas exhaustive et elle est complétée par celle des athlètes qui ont décroché des titres de champions de France, universitaires ou de grandes écoles comme Emma Charlet ou Cyann Galtier Vila en demi-fond, Simon Gresse en Aviron.

Mise en lumière régulière de sportifs et rencontres entre promotions pour 2025

Si tous ces étudiants doivent ces réussites sportives évidemment à leurs efforts et à leur ténacité, ils le doivent aussi aux dispositifs spécifiques mis en place par l’établissement pour les soutenir dans leur double projet, sportif et d’études. Et force est de constater, au regard des résultats, que ces dispositifs s’avèrent utiles. Une utilité perçue de plus en plus tôt, puisque la plupart des sportifs sollicitent dès la 1re année la mise en place d’un cursus aménagé pour réaliser, soit la 1re année d’études en 2 ans, soit les 2 premières années sur 3 ans. De même, environ 230 heures de tutorat sont dispensées chaque année par des enseignants et 55 étudiants ont pu en bénéficier cette année. « Deux dispositifs importants », estime la responsable de la section. « Car, en aménageant leurs premières années, les étudiants libèrent du temps pour s’entraîner, pour travailler mais aussi pour optimiser la récupération. Quant au tutorat, c’est également une ressource importante, car cet accompagnement personnalisé s’adapte au rythme du sportif et renforce ses acquis. »

La responsable de la filière entend donner vie à d’autres projets. D’abord organiser l’élection du sportif du semestre ou de la saison, afin de mettre en lumière les plus performants. Autre projet auquel elle tient : organiser une rencontre entre sportifs de toutes les promotions. But de l’opération ? « Créer davantage de liens et partager sur les problématiques communes », explique Laurence Duboscq. « Ce qui peut faire gagner du temps aux nouveaux entrants qui profiteront et s’inspireront de l’expérience de leurs aînés. »

 

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