Choisir sa pré-orientation
en 2ème et 3ème année

En fin de première année, les étudiants font le choix d’une des quatre pré-orientations pour leur deuxième et troisième année. Les deux années de pré-orientation préparent l’étudiant à entrer dans une des 8 spécialités de l’INSA en années 4 et 5.

Ingénierie de la construction (IC)

La pré-orientation INGÉNIERIE DE LA CONSTRUCTION (IC) est un premier pas vers les deux domaines les plus importants économiquement et en termes d’emploi de l’industrie : la construction mécanique et la construction civile. La formation donne des connaissances des lois fondamentales de la mécanique, de la résistance des matériaux, de la thermique et de la mécanique des fluides. Les méthodes numériques, les outils mathématiques et informatiques sont appliqués à la discipline. Les trois premiers semestres permettent de découvrir l’environnement des deux métiers. Le dernier semestre permet d’aborder intensivement l’une ou l’autre des spécialités : conception de mécanismes de transmission de puissance dans le génie mécanique, connaissance des sols et du comportement des matériaux dans le génie civil.

Cette pré-orientation conduit vers les filières Génie Civil et Génie Mécanique.

 

Ingénierie des Matériaux, Composants et Systèmes (IMACS)

La pré-orientation INGÉNIERIE DES MATÉRIAUX, COMPOSANTS ET SYSTÈMES (IMACS) apporte les connaissances nécessaires pour comprendre la physique des matériaux et des composants de la micro et nano-électronique, la commande automatique des processus ainsi que pour concevoir des systèmes électroniques intégrés en vue de l’acquisition de données et de leur utilisation dans la commande des systèmes et processus en temps réel. En alternant des enseignements théoriques et des mises en œuvre expérimentales, cette pré-orientation sensibilise en particulier les futurs ingénieurs aux méthodes liées à la physique microscopique, à l’électronique analogique et numérique, au traitement du signal, à l’assemblage de composants et à la commande des systèmes.

Cette pré-orientation conduit vers les filières Automatique et Électronique et Génie Physique.

 

Modélisation, Informatique et Communication (MIC)

La pré-orientation en MODÉLISATION, INFORMATIQUE ET COMMUNICATION (MIC) vise à sensibiliser les futurs ingénieurs aux méthodes liées au traitement de l’information, à l’ingénierie logicielle et matérielle, au calcul scientifique, aux techniques de communication et à leur mise en application. La formation a pour objectif de permettre aux étudiants de comprendre, modéliser, calculer et concevoir des systèmes complexes. Elle comporte des enseignements théoriques dans des disciplines comme les mathématiques, la physique, l’informatique, les télécommunications et les réseaux. Ces enseignements sont complétés par des mises en œuvre expérimentales sous forme de travaux pratiques, de projets et de bureaux d’études sur des applications concrètes.

Cette pré-orientation conduit vers les filières : Mathématiques appliquées et Informatique et Réseaux.

 

Ingénierie Chimique, Biochimique et Environnementale (ICBE)

La pré-orientation INGÉNIERIE CHIMIQUE, BIOCHIMIQUE ET ENVIRONNEMENTALE (ICBE) apporte les connaissances nécessaires pour concevoir et mettre en œuvre les procédés de transformation physico-chimique et biologique de la matière. Ces procédés sont utilisés pour répondre aux enjeux mondiaux actuels pour la production de médicaments, d’aliments, d’eau ou d’énergie… mais aussi pour le traitement des pollutions engendrées par l’activité humaine (gaz, eaux usées, déchets…). La formation concerne la description et la caractérisation du comportement des molécules et des catalyseurs biologiques, la compréhension des principaux phénomènes physiques mis en jeu (écoulements, transferts de chaleur et de matière, conversion de l’énergie …) ainsi que des approches méthodologiques spécifiques permettant le calcul des installations. Des outils mathématiques et informatiques permettent l’analyse et la modélisation des systèmes. Des bases en instrumentation familiarisent à la commande et au contrôle des installations. La formation est complétée par une ouverture sur le contexte industriel réel dans lequel ces compétences sont utilisées.

Cette pré-orientation conduit vers les filières Génie des Procédés, Eau, Énergie, Environnement et Génie Biologique.

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Certes, « pour ceux qui ont été mis en lumière et exposés aux fortes secousses émotionnelles suscitées par leur participation aux JO de Paris, la reprise a parfois pu être difficile », reconnaît Laurence Duboscq, la responsable de la section sport-études, lorsqu’on l’interroge sur les résultats obtenus durant la saison précédente. Mais globalement, se réjouit-elle, « la dynamique des résultats est entretenue tant chez les athlètes confirmés que chez ceux qui se révèlent ».   

Parmi les « confirmés » qui affichent encore de belles performances, et dont « un certain nombre se projette déjà sur les JO 2028 », figurent les beach volleyeurs qui concouraient aux JO de Paris en 2024 : Arnaud Gauthier-Rat, qui a remporté la médaille d'argent au challenger Alanya 2025 avec l'équipe de France, et Clémence Vieira, qui a décroché le titre de vice-championne d’Europe senior avec l’équipe de France. Toujours brillant aussi, Théo Faure, qui avait remporté la médaille d’or aux JO avec l’équipe de France de volley-ball, a réalisé une très belle saison dans le club où il évolue, le Top Volley Latina en Italie. Ce qui lui a valu d’être encore sélectionné en équipe de France et de disputer en septembre dernier le Mondial de volley masculin aux Philippines. Enfin, du côté des « anciens » qui ont encore performé, figure aussi le para nageur Ugo Didier, décoré également aux Paralympiques de Paris de 3 médailles (une d’or et deux d’argent) : celui-ci cumule, à l’issue de cette nouvelle saison, les titres de champion de France sur 100m dos et 200m 4 nages et a ramené, à l’issue de sa participation aux championnats du monde de Singapour fin septembre, 3 des 15 médailles françaises, en bronze, sur 200m 4 nages, 100m nage libre et 100m dos.

Des « révélations »

Du côté de ceux qui « se sont révélés », citons, au plus haut niveau de compétition, deux athlètes qui évoluent au canoë-kayak : Mattéo Zanni, sacré champion du monde en descente canoë sprint individuel dans les moins de 23 ans (U23) et 2e par équipe dans cette même discipline, et Corentin Georgeon, arrivé à la 8e place de ces mêmes championnats avec l’équipe de France. Dans les révélations s’illustrent aussi Enola Hochdoerffer, qui a fini 3e au championnat du monde par équipe au beach tennis après avoir réalisé une performance équivalente, toujours en équipe, au championnat d’Europe, ou encore Clémence Cadeac, une golfeuse qui vient d’être sacrée, en septembre, championne d’Europe amateur avec l’équipe de France.

Ce ne sont pas les seules étudiantes de la section sport-études à avoir brillé en championnats d’Europe. Alison Bernardi a raflé deux titres de championne d’Europe sur les épreuves de roller vitesse du 5 km à points et du 10 km à élimination, à Gross-Gerau en Allemagne et une médaille de bronze aux Mondiaux récemment. Sarah Brunel et Salome Degeorges ont décroché ensemble, dans l’épreuve d’aviron en deux de couple U23 femme, le titre de championnes de France. Et Alix Klewinski a fini 3e au championnat d’Europe universitaire de basket-ball. Cette liste n’est pas exhaustive et elle est complétée par celle des athlètes qui ont décroché des titres de champions de France, universitaires ou de grandes écoles comme Emma Charlet ou Cyann Galtier Vila en demi-fond, Simon Gresse en Aviron.

Mise en lumière régulière de sportifs et rencontres entre promotions pour 2025

Si tous ces étudiants doivent ces réussites sportives évidemment à leurs efforts et à leur ténacité, ils le doivent aussi aux dispositifs spécifiques mis en place par l’établissement pour les soutenir dans leur double projet, sportif et d’études. Et force est de constater, au regard des résultats, que ces dispositifs s’avèrent utiles. Une utilité perçue de plus en plus tôt, puisque la plupart des sportifs sollicitent dès la 1re année la mise en place d’un cursus aménagé pour réaliser, soit la 1re année d’études en 2 ans, soit les 2 premières années sur 3 ans. De même, environ 230 heures de tutorat sont dispensées chaque année par des enseignants et 55 étudiants ont pu en bénéficier cette année. « Deux dispositifs importants », estime la responsable de la section. « Car, en aménageant leurs premières années, les étudiants libèrent du temps pour s’entraîner, pour travailler mais aussi pour optimiser la récupération. Quant au tutorat, c’est également une ressource importante, car cet accompagnement personnalisé s’adapte au rythme du sportif et renforce ses acquis. »

La responsable de la filière entend donner vie à d’autres projets. D’abord organiser l’élection du sportif du semestre ou de la saison, afin de mettre en lumière les plus performants. Autre projet auquel elle tient : organiser une rencontre entre sportifs de toutes les promotions. But de l’opération ? « Créer davantage de liens et partager sur les problématiques communes », explique Laurence Duboscq. « Ce qui peut faire gagner du temps aux nouveaux entrants qui profiteront et s’inspireront de l’expérience de leurs aînés. »

 

Des « révélations »

Du côté de ceux qui « se sont révélés », citons, au plus haut niveau de compétition, deux athlètes qui évoluent au canoë-kayak : Mattéo Zanni, sacré champion du monde en descente canoë sprint individuel dans les moins de 23 ans (U23) et 2e par équipe dans cette même discipline, et Corentin Georgeon, arrivé à la 8e place de ces mêmes championnats avec l’équipe de France. Dans les révélations s’illustrent aussi Enola Hochdoerffer, qui a fini 3e au championnat du monde par équipe au beach tennis après avoir réalisé une performance équivalente, toujours en équipe, au championnat d’Europe, ou encore Clémence Cadeac, une golfeuse qui vient d’être sacrée, en septembre, championne d’Europe amateur avec l’équipe de France.

Ce ne sont pas les seules étudiantes de la section sport-études à avoir brillé en championnats d’Europe. Alison Bernardi a raflé deux titres de championne d’Europe sur les épreuves de roller vitesse du 5 km à points et du 10 km à élimination, à Gross-Gerau en Allemagne et une médaille de bronze aux Mondiaux récemment. Sarah Brunel et Salome Degeorges ont décroché ensemble, dans l’épreuve d’aviron en deux de couple U23 femme, le titre de championnes de France. Et Alix Klewinski a fini 3e au championnat d’Europe universitaire de basket-ball. Cette liste n’est pas exhaustive et elle est complétée par celle des athlètes qui ont décroché des titres de champions de France, universitaires ou de grandes écoles comme Emma Charlet ou Cyann Galtier Vila en demi-fond, Simon Gresse en Aviron.

Mise en lumière régulière de sportifs et rencontres entre promotions pour 2025

Si tous ces étudiants doivent ces réussites sportives évidemment à leurs efforts et à leur ténacité, ils le doivent aussi aux dispositifs spécifiques mis en place par l’établissement pour les soutenir dans leur double projet, sportif et d’études. Et force est de constater, au regard des résultats, que ces dispositifs s’avèrent utiles. Une utilité perçue de plus en plus tôt, puisque la plupart des sportifs sollicitent dès la 1re année la mise en place d’un cursus aménagé pour réaliser, soit la 1re année d’études en 2 ans, soit les 2 premières années sur 3 ans. De même, environ 230 heures de tutorat sont dispensées chaque année par des enseignants et 55 étudiants ont pu en bénéficier cette année. « Deux dispositifs importants », estime la responsable de la section. « Car, en aménageant leurs premières années, les étudiants libèrent du temps pour s’entraîner, pour travailler mais aussi pour optimiser la récupération. Quant au tutorat, c’est également une ressource importante, car cet accompagnement personnalisé s’adapte au rythme du sportif et renforce ses acquis. »

La responsable de la filière entend donner vie à d’autres projets. D’abord organiser l’élection du sportif du semestre ou de la saison, afin de mettre en lumière les plus performants. Autre projet auquel elle tient : organiser une rencontre entre sportifs de toutes les promotions. But de l’opération ? « Créer davantage de liens et partager sur les problématiques communes », explique Laurence Duboscq. « Ce qui peut faire gagner du temps aux nouveaux entrants qui profiteront et s’inspireront de l’expérience de leurs aînés. »

 

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