Devenir ingénieur

Aux valeurs
humanistes

5 ans

de formation
d’ingénieur

8

spécialités
de formation

3 200

étudiants
à Toulouse

+ de 500

Ingénieurs
diplomés
par an

38%

d’étudiantes

Intégrer l’insa

Vous pouvez intégrer l’INSA Toulouse en 1re, 2e ou 3e année (en formation initiale ou par apprentissage) et en 4e année. Découvrez aussi nos filières spécifiques ou internationales accessibles dès la 1re année.

Démarrer votre formation

 1re année : tronc commun

Cursus INSA Toulouse, adapté au système européen de l’enseignement supérieur LMD.

Le cursus INSA commence par une 1ère année post-bac commune à tous les étudiants dont la finalité est de donner aux étudiants une formation scientifique de base. Les objectifs sont la maîtrise des disciplines fondamentales, l’acquisition de méthodes de travail ainsi que le perfectionnement des capacités humaines et d’expression.

+

La filière Formation Active en Sciences (FAS) cursus adapté aux étudiants détenteurs d’un BAC STI2D

La formation débute par une 1ère année spécifique avec une pédagogie adaptée et centrée sur des projets. La 2ème année, en partie spécifique, propose une orientation, au choix, dans le domaine du numérique ou de la construction. Enfin, les étudiants intègrent le cursus classique ingénieur de l’INSA à partir de la 3ème année.

+

Poursuivre en pré-orientation

 2e et 3e année

En fin de première année, les étudiants font le choix d’une des quatre pré-orientations pour leur deuxième et troisième années dans 4 grands domaines.

Ingénierie
de la Construction
(IC)

Ingénierie
des Matériaux, Composants
et Systèmes
(IMACS)

Modélisation
Informatique et
Communication
(MIC)

Ingénierie Chimique,
Biochimique et
Environnementale
(ICBE)

Apprentissage

4 spécialités sont accessibles en apprentissage, pour une formation qui alterne périodes à l’école et périodes en entreprise.

Choisir sa spécialité

 4e et 5e année

8 spécialités sont proposées dans tous les domaines de l’ingénierie afin de couvrir et d’anticiper les besoins socio-économiques, en lien avec une recherche de pointe.

Toutes les spécialités sont aussi accessibles en contrat de professionnalisation.

Ingénieur et tellement +

à l’INSA Toulouse

Le modèle de formation se construit avec des pédagogies plurielles adaptées à une diversité d’apprenants. Chaque étudiant peut bénéficier d’un accompagnement spécifique, pour un parcours personnalisé.

Accompagnement pédagogique
sur-mesure

Des pédagogies innovantes, plurielles, centrées sur la réussite des étudiants.

+

Accompagnement
entrepreneurial

Dispositifs à plusieurs étages, de la sensibilisation à l’accompagnement à la création d’entreprise.

+

Doubles
diplômes

Parallèlement au cursus ingénieur, plusieurs parcours complémentaires peuvent conduire à un double diplôme.

+

Parcours pro
individualisé

Accompagnement personnalisé sur les 5 années pour construire son projet professionnel.

+

Accompagnement
handicap

Les étudiants en situation de handicap durable ou temporaire bénéficient d’un soutien personnalisé.

+

Sections
internationales

Des filières spécifiques internationales proposées dès la première année, avec l’Asie, l’Espagne, la Norvège et des pays anglo-saxons.

+

Sections
à thèmes

Possibilité de poursuivre un double projet artistique, sportif ou culturel en parallèle du cursus ingénieur dans des sections à thèmes.

+

Apprendre par l’expérience

Des plateformes technologiques pour des expériences au plus près du monde de l’entreprise et de la recherche.

+

CENTRE DES ACTIVITÉS PHYSIQUES ET SPORTIVES

Les APS ont pour vocation de promouvoir une culture sportive.

+

SCIENCES HUMAINES
ET SOCIALES

L’objectif est de préparer les étudiants à intégrer le monde professionnel en tenant compte du contexte socio-économique.

+

INS’ART

Un parcours pour la découverte artistique, culturelle et pédagogique accessible à l’ensemble de nos étudiants.

+

Enseignements évolutifs

L’école travaille à un nouveau profil de l’ingénieur, conscient des enjeux climat-énergie et du bien commun.

+

Poursuivre ses études

à l’insa Toulouse

En complément du diplôme d’ingénieur, l’INSA Toulouse propose pour tous des formations masters, mastères spécialisés ou doctorat. Elles permettent de se spécialiser et/ou d’approfondir ses connaissances par la recherche.

masters

Accessibles avec un bac + 3, ils associent savoirs académiques, professionnalisation et recherche.

+

Doctorats

De niveau bac +8, formation à la recherche avec la réalisation de travaux scientifiques originaux.

+

mastères
spécialisés

Diplôme de niveau 7 en 1 an, à orientation professionnelle en formation initiale ou continue.

+

Formation
continue

Acquérir des compétences par des modules de formations certifiantes ou se réorienter professionnellement.

+

VAE

Bénéficier de la validation des acquis de l’expérience (VAE) pour obtenir le diplôme d’ingénieur INSA.

+

IDPE

Obtenir un titre d’ingénieur délivré par l’État qui valide les acquis et compétences professionnelles.

+

Actualiser ses compétences

Tout au long de sa vie

Pour les salariés et les demandeurs d’emploi, l’INSA Toulouse propose une offre de formation qualifiante ou bien diplômante pour maintenir au meilleur niveau son expertise et suivre les évolutions des métiers.

Poursuivre ses études

à l’insa toulouse

En complément du diplôme d’ingénieur, l’INSA Toulouse propose pour tous des formations masters, mastères spécialisés ou doctorat. Elles permettent de se spécialiser et/ou d’approfondir ses connaissances par la recherche.

Masters

Accessibles avec un bac + 3, ils associent savoirs académiques, professionnalisation et recherche.

+

Masters
spécialisés

Diplôme de niveau 7 en 1 an, à orientation professionnelle en formation initiale ou continue.

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Doctorats

De niveau bac +8, formation à la recherche avec la réalisation de travaux scientifiques originaux.

+

Améliorer
ses compétences

Tout au long de sa vie

Formation
Continue

Acquérir des compétences par des modules de formations certifiantes ou se réorienter professionnellement.

+

VAE

Bénéficier de la validation des acquis de l’expérience (VAE) pour obtenir le diplôme d’ingénieur INSA.

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IDPE

Obtenir un titre d’ingénieur délivré par l’État qui valide les acquis et compétences professionnelles.

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Tél : 05 61 55 95 13
Fax : 05 61 55 95 00

Quatre d’entre eux, déjà diplômés ou en cours de cursus, avaient déjà fait la fierté de l’INSA Toulouse lors des précédents Jeux olympiques de Tokyo en 2021. À l’instar de Matthieu Androdias, jeune diplômé de l’INSA Toulouse à l’époque, monté sur la première marche du podium olympique en aviron de couple avec Hugo Boucheron, ou encore d’Ugo Didier, étudiant qui avait décroché, à seulement 19 ans, l’argent en 400 mètres nage libre et le bronze au 200 mètres 4 nages aux Jeux Paralympiques. Aujourd’hui, 10 étudiants sportifs de haut niveau de l’INSA Toulouse ont ouvert les « champs des possibles » pour une éventuelle participation à cette prestigieuse compétition.

 

Vers une nouvelle participation aux JO pour quatre nageurs ?

En natation, ils sont quatre, dont trois qui avaient déjà représenté la France aux précédents JO de Tokyo ! À leur tête, Ugo Didier, parce que c’est le seul, pour l'instant, à avoir la certitude de pouvoir aller briguer une autre médaille à Paris puisqu’il est d’ores et déjà qualifié pour les JO. Les autres doivent attendre les résultats qu'ils feront entre fin juin aux Championnats de France, pour savoir s’ils seront sélectionnés ou pas. Ugo Didier est étudiant en 4e année génie civil à l’INSA Toulouse et membre de l’équipe de France de natation paralympique. En 2023, il a décroché plusieurs médailles d'argent au Championnat du monde de Manchester : pour le 100 m dos, le 400 m et le 100 m nage libre, pour le 200 m 4 nages individuel et le relais 4×100 nage libre. Aujourd’hui, Ugo aimerait bien décrocher une, voire deux médailles d’or aux jeux de Paris, la seule couleur qui lui manque aux Jeux !

Antoine Viquerat, étudiant en 5e année génie mécanique, pourrait aussi très bien à nouveau concourir dans l’épreuve de 200 m brasse après avoir fini demi-finaliste aux précédents JO. Il a notamment décroché, en 2021, les titres de champion de France du 50 et du 200 mètres brasse aux Championnats de France de natation à Chartres, ainsi qu’aux 100 mètres brasse aux Championnats de France d'hiver de natation à Montpellier, et été finaliste du relais 4x100 m quatre nages grand bassin en 2022 aux championnats d’Europe et du Monde.

Autre « star » de la natation de l’INSA Toulouse, Lucile Tessariol, qui suscite beaucoup d’espoir pour une possible qualification en individuel sur les épreuves de 200 m et 400 m nage libre. Étudiante en 1re année, elle avait atteint la finale aux Jeux de Tokyo dans l’épreuve du 4x200 m nage libre féminin. Depuis, elle a aussi décroché deux médailles aux Championnats d’Europe 2022 et remporté le titre européen -23 ans sur le 200 m nage libre en 2023.

Enfin, un autre espoir en natation, Antoine Herlem, pourrait être lui aussi qualifié à l'issue des championnats de France qui se dérouleront du 16 au 21 juin, pour l'épreuve de natation dos 200 m. Il a notamment fini à la 15e place pour le 200 m dos hommes - série lors des Championnats du monde 2023.

 

Des champions du ballon en lice aussi

En beach-volley, ils sont également deux sportifs de haut niveau à être pressentis pour aller défendre les couleurs de la France aux JO 2024.

Il y a d’abord Arnaud Gauthier-Rat, qui avait déjà eu l’opportunité de se qualifier aux JO de la Jeunesse de Nankin en 2014, où il avait terminé à la 9e place avec son partenaire de l’époque, Arnaud Loiseau. Étudiant en 5e année au département génie électrique et informatique de l’INSA Toulouse, il avait notamment été sacré champion de France en 2019 et fini 15e au classement mondial de 2022.

Clémence Vieira, étudiante en 3e année spécialité génie civil et joueuse en Équipe de France de beach-volley, évolue dans la même discipline. Elle est double championne de France en titre, championne du monde militaire 2023 et actuellement 37e mondiale.

Adepte du ballon aussi, mais pas sur sable, Théo Faure, étudiant en 4e année génie physique, a également toutes ses chances d’être qualifié. Volleyeur professionnel depuis 2019, il évolue désormais en Italie, dans le club de Cisterna après être passé par les Spacers à Toulouse ou encore l’équipe de Montpellier avec laquelle il a été champion de France en 2022.

Deux en course pour l’athlétisme

En athlétisme, discipline historique des Jeux olympiques, trois SHN de l’INSA Toulouse affichaient aussi des prétentions pour les JO. Si l’un d’entre eux a hélas été blessé, Cyann Galtier-Villa, étudiant en 1re année IC (Ingénierie de la Construction) qui fait du demi-fond, les deux autres restent en lice pour briguer cette précieuse qualification : Tom Campagne, étudiant en 3e année spécialité Génie mécanique, qui fait de l’athlétisme depuis plus de 10 ans et s’est spécialisé dans le saut en longueur à haut niveau, et Alexa Lemitre, en 5e année GP3E (Génie des procédés : eau, énergie, environnement) pour l'épreuve de demi-fond.

Enfin, une autre étudiante pourrait bien représenter la France sur une toute nouvelle discipline apparue aux JO de Tokyo, l’escalade de vitesse. Lison Gautron, étudiante en 3e année MIC-IR (Modélisation, informatique et communication), s’est spécialisée, il y a 4 ans de cela dans cette discipline après 14 ans d’escalade. À 20 ans, elle fait partie des grands espoirs de l’escalade de vitesse français, car elle compte déjà de nombreuses sélections en équipe de France : en Équipe de France jeunes, elle a notamment pu participer aux Championnats du Monde et d’Europe, terminant respectivement 10e et 3; elle a également participé à plusieurs étapes de la Coupe d’Europe dont une qu’elle a remportée ; et chez les seniors, elle a pu participer à une étape de Coupe d’Europe où elle a terminé 9e et à une Coupe du Monde où elle s’est classée 16e. Aujourd’hui, elle espère bien finir dans les 5 premières des OQS (Olympic Qualifier Series), compétitions qualificatives pour les JO de Paris.

 

L’aide précieuse des parcours aménagés

Si ces sportifs de haut niveau doivent en très grande partie leurs résultats et la possibilité de briguer une qualification aux JO à une motivation sans faille et un travail sans relâche depuis des années, ils le doivent aussi, en partie, à l’accompagnement spécifique dont ils bénéficient en tant que sportifs de haut niveau au sein de l’établissement.

Ce dispositif proposé à l’échelle du Groupe INSA concerne près de 400 élèves. Il leur permet de suivre le cursus ingénieur tout en répondant aux contraintes d’entraînement et de participation aux compétitions. Une aide non négligeable, car nombreux s’accomplissent dans leur double projet, sans que cela soit au détriment de l’un ou de l’autre. À titre d’exemple, Matthieu Androdias avait pu déjà participer avant Tokyo, grâce à son cursus aménagé à l’INSA de Toulouse, à deux olympiades, les JO de Londres en 2012 et ceux de Rio en 2016. Arnaud Gauthier-Rat a pu de son côté entrer dans le top 20 au ranking mondial de sa discipline et être vainqueur en 2023 du grand chelem de Torquay en Australie...

Pour Sylvie Rossard, responsable de ces profils particuliers qui évoluent à l’INSA Toulouse, ce dispositif répond parfaitement aux valeurs que porte l’INSA, entre autres former des ingénieurs qui soient ouverts et capables de s’épanouir dans d’autres domaines, le sport, la musique, l’art…

Qu’ils soient qualifiés ou non, ces athlètes n’en restent pas moins brillants… et tenaces ! En effet, certains d’entre eux, à l’instar de Lucile Tessariol ou d’Arnaud Gauthier-Rat, affichent d’ores et déjà leur intention d’essayer de briguer une qualification pour les JO qui suivront à Los Angeles en 2028 !

 

 

Rédaction : Camille Pons, journaliste

 

Quatre d’entre eux, déjà diplômés ou en cours de cursus, avaient déjà fait la fierté de l’INSA Toulouse lors des précédents Jeux olympiques de Tokyo en 2021. À l’instar de Matthieu Androdias, jeune diplômé de l’INSA Toulouse à l’époque, monté sur la première marche du podium olympique en aviron de couple avec Hugo Boucheron, ou encore d’Ugo Didier, étudiant qui avait décroché, à seulement 19 ans, l’argent en 400 mètres nage libre et le bronze au 200 mètres 4 nages aux Jeux Paralympiques. Aujourd’hui, 10 étudiants sportifs de haut niveau de l’INSA Toulouse ont ouvert les « champs des possibles » pour une éventuelle participation à cette prestigieuse compétition.

 

Vers une nouvelle participation aux JO pour quatre nageurs ?

En natation, ils sont quatre, dont trois qui avaient déjà représenté la France aux précédents JO de Tokyo ! À leur tête, Ugo Didier, parce que c’est le seul, pour l'instant, à avoir la certitude de pouvoir aller briguer une autre médaille à Paris puisqu’il est d’ores et déjà qualifié pour les JO. Les autres doivent attendre les résultats qu'ils feront entre fin juin aux Championnats de France, pour savoir s’ils seront sélectionnés ou pas. Ugo Didier est étudiant en 4e année génie civil à l’INSA Toulouse et membre de l’équipe de France de natation paralympique. En 2023, il a décroché plusieurs médailles d'argent au Championnat du monde de Manchester : pour le 100 m dos, le 400 m et le 100 m nage libre, pour le 200 m 4 nages individuel et le relais 4×100 nage libre. Aujourd’hui, Ugo aimerait bien décrocher une, voire deux médailles d’or aux jeux de Paris, la seule couleur qui lui manque aux Jeux !

Antoine Viquerat, étudiant en 5e année génie mécanique, pourrait aussi très bien à nouveau concourir dans l’épreuve de 200 m brasse après avoir fini demi-finaliste aux précédents JO. Il a notamment décroché, en 2021, les titres de champion de France du 50 et du 200 mètres brasse aux Championnats de France de natation à Chartres, ainsi qu’aux 100 mètres brasse aux Championnats de France d'hiver de natation à Montpellier, et été finaliste du relais 4x100 m quatre nages grand bassin en 2022 aux championnats d’Europe et du Monde.

Autre « star » de la natation de l’INSA Toulouse, Lucile Tessariol, qui suscite beaucoup d’espoir pour une possible qualification en individuel sur les épreuves de 200 m et 400 m nage libre. Étudiante en 1re année, elle avait atteint la finale aux Jeux de Tokyo dans l’épreuve du 4x200 m nage libre féminin. Depuis, elle a aussi décroché deux médailles aux Championnats d’Europe 2022 et remporté le titre européen -23 ans sur le 200 m nage libre en 2023.

Enfin, un autre espoir en natation, Antoine Herlem, pourrait être lui aussi qualifié à l'issue des championnats de France qui se dérouleront du 16 au 21 juin, pour l'épreuve de natation dos 200 m. Il a notamment fini à la 15e place pour le 200 m dos hommes - série lors des Championnats du monde 2023.

Des champions du ballon en lice aussi

En beach-volley, ils sont également deux sportifs de haut niveau à être pressentis pour aller défendre les couleurs de la France aux JO 2024.

Il y a d’abord Arnaud Gauthier-Rat, qui avait déjà eu l’opportunité de se qualifier aux JO de la Jeunesse de Nankin en 2014, où il avait terminé à la 9e place avec son partenaire de l’époque, Arnaud Loiseau. Étudiant en 5e année au département génie électrique et informatique de l’INSA Toulouse, il avait notamment été sacré champion de France en 2019 et fini 15e au classement mondial de 2022.

Clémence Vieira, étudiante en 3e année spécialité génie civil et joueuse en Équipe de France de beach-volley, évolue dans la même discipline. Elle est double championne de France en titre, championne du monde militaire 2023 et actuellement 37e mondiale.

Adepte du ballon aussi, mais pas sur sable, Théo Faure, étudiant en 4e année génie physique, a également toutes ses chances d’être qualifié. Volleyeur professionnel depuis 2019, il évolue désormais en Italie, dans le club de Cisterna après être passé par les Spacers à Toulouse ou encore l’équipe de Montpellier avec laquelle il a été champion de France en 2022.

Sportifs : Ugo Didier, Antoine Viquerat, Lucile Tissariol

Dans un souci d'alléger le texte et sans aucune discrimination de genre, l'emploi du genre masculin est utilisé à titre épicène.